Médecine : le cœur d’un porc génétiquement modifié, transplanté à un homme

Une transplantation cardiaque à partir d’un cœur de porc génétiquement modifié a été réalisée à Baltimore. David Bennett, 57 ans a subit l’intervention expérimentale qui a duré sept heures.

Les médecins du centre médical de l’université du Maryland, ont obtenu une dérogation spéciale de l’autorité médicale américaine pour faire cette opération. M. Bennett n’était pas éligible à une transplantation humaine. “C’était soit mourir, soit faire cette transplantation” explique M. Bennett.

La xénotransplantation (transplantaton d’un organe d’origine animale à un humain) avait déja fait l’objet de nombreuses discussions scientifiques et l’utilisation des valves cardiaques de porc est courante.

Selon le chirurgien Bardley Griffith : “nous n’avons jamais fait cela chez un humain et j’aime à penser que nous, nous lui avons donné une meilleure option que ce qu’aurait été la poursuite de sa thérapie”. Il déclare par la suite : “mais si il vivra, un jour , une semaine, un mois, je ne le sais pas”.

Aux Etats-Unis, 17 personnes meurent chaque jour dans l’attente d’une transplantation, et plus de 100 000 personnes seraient sur la liste d’attente. Le chirurgien Griffith dit que l’opération permettra au monde de faire “un pas de plus vers la résolution de la crise de la pénurie d’organes”.

Espagne : le Covid-19 géré comme une grippe dans les prochains jours.

L’Espagne a instauré un confinement des plus strict en Europe au printemps 2020, cette pandémie qui a sévèrement touché le pays, a été comparée aux différentes périodes de grippes face au taux de mortalité qu’a connu le pays. Le gouvernement va désormais revoir sa stratégie et alléger les mesures sanitaires.

Selon le Premier ministre Pedro Sanchez dans une interview, il explique que le Covid-19 sera traité “non plus comme une pandémie, mais comme une maladie endémique” avant de renchérir : “ De nouveaux instruments sont nécessaires pour cela, et nous devrons également mener ce débat au niveau européen”.

Pour les autorités sanitaires, le virus sera traité comme une maladie respiratoire de plus, d’une manière plus proche de la grippe. “Avec le temps, il faut normaliser et surveiller le covid-19 comme d’autres maladies respiratoires, avec des médecins de soins primaires sentinelles qui posent un diagnostic par syndrome clinique, en effectuant des PCR sur les patients hospitalisés et en continuant à étudier le virus pour vérifier comment il mute” explique un responsable du centre national de la grippe en Espagne.

Les mesures allégées sont telles que les restrictions se limitent au port du masque à l’intérieur comme à l’extérieur, certaines régions autonomes comme la catalogne ont déployé un pass sanitaire pour la restauration, mais la quarantaine des personnes testées positives sont allégées. Les cas ne seront plus comptabilisés et au moindre symptôme, l’on aura recours au test PCR.

Cette nouvelle stratégie sera effective à la fin de la sixième vague d’infections. Mais nous parle-t-on d'un retour à "la vie d'avant" ou bien d'un "nouveau normal" ?

“Le faux procès” d’Emmanuel Macron contre les nons vaccinés, Didier Lalande porte plainte.

Accusé pour avoir tenu des propos injurieux vis-à-vis des personnes non vaccinées, un retraité porte plainte contre Emmanuel Macron, après que ce dernier ait dit vouloir “emmerder les non vaccinés”.

Âgé de 63 ans, Didier Lalande a déposé une plainte contre le président de la République pour “diffamation et menaces publiques par personne ayant autorité”, envers les non-vaccinés.

À titre de rappel, Macron a déclaré mardi dernier : “ les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer de le faire, jusqu’au bout. C’est ça la stratégie”.

Le retraité de Rosiers- d’Egletons en Corrèze a déposé plainte mercredi contre ces propos “discriminatoires et insultants”. Il a été “choqué et blessé”, si l’on reprend ses expressions, par cet entretien. Il ajoute : “On m’impose des contraintes que je respecte” mais “je trouve cela insupportable de remettre en cause la citoyenneté des non-vaccinés”.

Couvert par l’immunité présidentielle, sa plainte ne pourra pas aboutir à un procès. Seulement, elle revêt un caractère jugé “symbolique”.

Covid-19 : 2/3 des parents opposés à la vaccination des enfants, selon un sondage

Un sondage, mené auprès des parents d’enfants de 5 - 11 ans le 20 décembre dernier, a établi que 67 % des parents d’enfants concernés par la vaccination anti-COVID y sont défavorables.

Le président du Conseil d’Orientation de la stratégie vaccinale, Alain Fischer, s’est exprimé sur le sujet vendredi. Dorénavant, pour faire vacciner les enfants de 5 à 11 ans, il faut l’accord des deux parents et non plus d’un seul. Une décision prise suite à la demande du conseil d’Etat.

La vaccination, ouverte vers la fin du mois de décembre à tous les enfants (5 - 10 ans), démarre doucement à reconnu M. Fischer. À ce jour, très peu ont reçu une première injection : “ 80 - 90 000” soit “peu plus de 1 %.

Chez les adultes concernés, 67 % y sont défavorables, soit 53 % y sont très défavorables et 14 % plutôt pas favorable. Ensuite, 23 % sont favorables et 10 % sans avis. Les mères sont plus réticentes (76 %) que les pères ( 54 %).

Entre le 2 et le 17 décembre 2021, l’observatoire régional de la santé Provence-Alpes-Côte d'Azur a mené cette étude auprès d’un échantillon de 2022 personnes représentatif de la population adulte concernée résidant en France métropolitaine.

Covid-19 : une quatrième dose de vaccin déjà approuvée en Israël

Le variant Omicron, se propage massivement en Israël, Naftali Bennett dans l’optique de stopper l’évolution de ce variant au sein de sa population, décide de valider une 4ème dose de rappel.

Suite à sa déclaration faite dimanche, le Premier ministre Naftali Bennett annonce la sortie d’une nouvelle dose de rappel du vaccin anti Covid, lors d’une conférence de presse liée à la pandémie. Bien que toute la population soit concernée, l’emphase est mise sur les plus de 60 ans et sur le personnel de santé.

Afin de justifier cette décision, le chef du gouvernement affirme que “la vague Omicron est là et nous devons nous protéger”. Le vaccin, quoiqu'en phase expérimentale, avait déjà été administré aux immuno-déprimés. Aussi, malgré toutes les dispositions prises par le gouvernement pour se prévenir du nouveau variant, la contamination est très rapide.

Ainsi, jeudi, une première livraison de pilules anti-coronavirus de Pfizer a été administrée aux immuno-déprimées, dimanche la vaccination massive est instaurée pour les de 60 et plus et très vite elle le sera pour les adultes et pour les enfants qui ne le sont pas encore.

Naftali Bennett, sur la vague de contamination de Omicron déclare : “on peut envisager d’avoir 5 000 nouveaux cas par jour prochainement”.

Il faut rappeler que selon les pro-vaccins, celui-ci n’est efficace que pour 4 mois au plus. Donc les dirigeants comptent bien faire vacciner leurs populations tous les 4 mois pour “faire face” à la pandemie.

Ghislaine Maxwell jugée coupable de trafic sexuel de mineures

La compagne de Jeffrey Epstein a été déclarée coupable de crimes sexuels et de trafic de jeunes filles mineures, pour le compte du magnat de la finance. Pour avoir été sa facilitatrice, elle est jugée par le tribunal fédéral de Manhattan.

Le 29 décembre, la cour à déclaré Ghislaine coupable de cinq chefs d’accusation retenus contre elle. Cette dernière encourt une peine de 10 ans de prison pour avoir facilité à son compagnon Jeffrey d’abuser sexuellement des mineurs. Des faits qui remontent de 1994 à 2004.

Le procureur fédéral de Manhattan Damian Williams a tenu à saluer le “courage des jeunes filles, devenues des femmes” pour avoir témoigné contre Ghislaine Maxwell en tant que victime des abus sexuels du couple. Des “crimes perpétrés avec son partenaire et complice de toujours” et “lequel s'est suicidé dans une prison de New York en août 2019, avant d’être jugé pour crimes sexuels, ajouta-t-il.

“Le jury à l’unanimité a reconnu Ghislaine Maxwell coupable de l’un des pires crimes que l’on puisse imaginer : faciliter et prendre part à l’agression sexuelle d’enfants”, dit le procureur fédéral du tribunal de Manhattan.

Un homme paralysé avec une puce cérébrale poste pour la première fois un tweet par la pensée.

L'entreprise Synchron qui fait des implants cérébraux, des interfaces informatiques neuronales dit qu’un patient atteint d’une maladie du système nerveux qui l’a laissé immobile a pu partager une publication sur les réseaux sociaux simplement en y pensant.

Un homme de 62 ans en Australie diagnostiqué avec la sclérose latérale amyotrophique (SLA), une maladie qui provoque la paralysie, est maintenant capable de communiquer ses pensées avec les autres sans aucune activité musculaire impliquée. Jeudi, il a publié un article sur les réseaux sociaux “en utilisant uniquement la pensée directe” c’est la société qui lui a permis de le faire.

“ J’ai créé ce tweet juste en y pensant” selon le tweet, ceci a été posté par Philip O’Keefe sur le compte du directeur executif Thomas Oxley.

Le premier tweet par la pensée directe a été créé sans fil à partir du cerveau du patient Philip O’Keefe, selon l’entreprise. À la suite de la paralysie causée par sa maladie, l’homme s'est fait "greffer" l’année dernière une interface cerveau-ordinateur appelée “Stentrode”. L’implant “conçu pour permettre aux patients de contrôler sans fil des appareils numériques par la pensée”, a été inséré via la veine jugulaire pour éviter de percer le crâne.

"Maintenant, je pense simplement à l’endroit sur l’ordinateur sur lequel je veux cliquer et je peux envoyer des e-mails, effectuer des opérations bancaires, faire des achats et maintenant envoyer des messages au monde via twitter”, a déclaré la société en citant O’Keefe. Selon lui, le système “surprenant demande de la pratique, tout comme apprendre à faire du vélo, mais une fois que vous roulez, cela devient naturel.”

Une avancée technologique qui soulève de nombreuses questions...

Le vaccin anti-covid aurait un impact négatif sur le cycle menstruel des jeunes femmes.

Une étude norvégienne a enregistré une pléthore de troubles menstruels chez les jeunes femmes après avoir pris le vaccin anti-covid, en incluant un saignement abondant et de longues durées ou encore de très fortes douleurs pendant les règles.

Après plusieurs plaintes de jeunes femmes qui ont constaté un flux abondant pendant leur période de menstruation, suivant leur dose de vaccin, une étude sur la population a été menée. Il a été conclu un résultat préliminaire. “Nous avons constaté dans notre étude que de nombreuses femmes expérimentent divers troubles après la première dose de vaccin” : affirme le Dr Lill Trogstad, gestionnaire du projet FHI.

L’étude basée sur le rapport entre le vaccin du Covid-19 et le trouble du saignement a été menée par l’institut de la santé publique (FHI). 60.000 jeunes filles et femmes en Norvège ont été examinées et les premiers résultats des femmes de la tranche de 18-30 ans ont été publiés. Parmi les participantes, 59,4 % ont reçu Pfizer comme première dose, 35,8 % ont reçu Moderna, 4,7 % AstraZeneca et 0,2 % ont reçu Janssen. Pour la seconde dose, 4,7 % Pfizer et 5,2 % Moderna. Ainsi, 15,3 % de femmes ont un saignement abondant après la prise de la deuxième dose de vaccin.

Les symptômes du dérèglement sont divers, dont la durée du cycle qui varie de manière anormale, une augmentation de la durée du saignement, les douleurs intenses, et des douleurs sans saignement.
Plusieurs femmes à travers le monde se sont plaintes de troubles menstruels après avoir reçu le vaccin, en novembre le nombre a excédé les 3,900.

Pass sanitaire : une puce implantée sous la peau pour lire le pass sanitaire

Une entreprise suédoise Dsruptive, a décidé d’innover, elle veut allier sa technologie numérique au pass sanitaire. Son idée est de rendre possible l’implantation sous-cutanée d’une micro puce pour lire le pass sanitaire. Le prix de cette micro-puce s’élève à des centaines d’euros.

La start-up Dsruptive Subdermals développe une micro-puce qui devrait contenir les informations relatives au pass sanitaire. La startup argue qu'elle permettrait aux personnes de se déplacer vers les lieux publics avec des implants sous la peau. Ces implants pourraient être posés dans le bras ou le doigt. Elle remplacerait le pass sanitaire scanné à partir d’un code QR contenu dans le téléphone.

Selon Hannes Sjoblad le responsible de la start-up suédoise, les personnes vaccinées ne courent aucun risque d’avoir une puce. Il déclare : “j’ai une puce implantée dans mon bras et je l’ai programmée de façon à ce que mon pass sanitaire soit dessus". De plus, il dit : “ces implants n’ont pas de batterie, ils ne peuvent pas transmettre de signal” et “ils ne donnent jamais votre localisation”.

Dans le but de vouloir défendre son projet, Hannes nous explique que ces puces ne sont actives que lorsqu’on les met en contact avec un appareil qui les scanne.

Pourrait-on aussi simplement penser que le puce ne pourrait pas être programmée à notre insu à d’autres fins ?
 

Une école renvoie un élève de six ans, pour avoir oublié de mettre son masque.

Après avoir été déposé à son école à Toulouse, un élève de six ans se retrouve à rentrer tout seul chez lui, en raison de l'oubli du port de son masque.

Lundi 13 décembre, un élève en classe de CP, à l’école Bonnefoy à Toulouse a été refoulé aux portes de son établissement pour n’avoir pas porté de masque. Selon la direction académique de la Haute-Garonne : “C’est une maladresse totale entre le directeur de l’école et la directrice de l’Alae (structure d’accueil de loisirs associée à l’école), car l’un a instruit à l’élève de mettre son masque, et aussitôt, l’autre lui a dit “va chercher ton masque”. Ainsi, l’enfant n’a pas pu entrer.

C’est en rentrant, qu’un ami de la famille l’a trouvé par hasard et l’a conduit à la maison. La mère du petit, très en colère déclare : “notre fils aurait pu être kidnappé sans que personne ne bronche, sa vie a été gravement mise en danger.”

Par ailleurs, le directeur académique a demandé au directeur de recevoir les parents pour leur présenter “ses plus plates excuses” et il reconnaît avoir “frôlé la catastrophe”.

Pas de dose de rappel, pas de pass sanitaire pour les 65 ans et plus

Deux vaccins sont requis pour la dose de rappel, Moderna et Pfizer. Les personnes âgées font face à une nouvelle contrainte vaccinale occasionée par le gouvernement. Il leur faut une dose de rappel obligatoire ou leur pass sanitaire est invalidé.

Gabriel Attal le porte-parole du gouvernement, déclare : “d’après nos informations, 400 000 français de plus de 65 ans sont éligibles à la dose de rappel et ne l’ont toujours pas faite, sept mois après leur dernière injection”. Il faut rappeler que l’efficacité du vaccin diminue au bout de 6 mois.

Selon le ministre de la Santé, 12 % de personnes âgées sont éligibles allant de 80 ans et plus et 10 % des 65/79 ans.

En l’absence d’une dose de rappel, leur QR code devra être automatiquement désactivé et ils devront, comme les non-vaccinés, disposer d’un test négatif de moins de 24 h pour accéder à un lieu ou événement soumis au pass.

Suite à la menace de suppression de la validité du pass sanitaire des vaccinés, le gouvernement les conditionne à accepter une troisième dose de vaccin, soit sept mois après la dernière dose, sans avis médicale préalable.

A cet effet, les 65 ans et plus et les personnes vaccinées avec le Janssen ayant eu leur dose avant le 17 octobre, on vu les restrictions de gouvernement s’appliquer mercredi dernier à leur égard et celles-ci s’étendront à tous les français majeurs à partir du 15 janvier.

Covid-19 : le variant Omicron n’est pas aussi virulent que le virus Delta

Le Dr Angélique Coetzee, est le premier médecin à avoir été confrontée au variant Omicron, elle donne son avis sur ledit variant qui serait beaucoup plus transmissible que le reste, mais moins dangereux que les autres variants.

Le Dr Angélique déclare : “j’ai été étonnée par l’extraordinaire réaction mondiale dans les jours qui ont suivi, la Grande-Bretagne et certains autres pays européens imposant de lourdes restrictions de voyage sur les vols en provenance de toute l’Afrique australe (…) ”.

Suite à la réaction exagérée de certains gouvernements face au variant Omicron, elle décide de s’exprimer en tant que médecin généraliste et présidente de l’Association médicale sud-africaine. En exercice depuis plus de 33 ans, elle assure que les symptômes présentés chez les personnes atteintes de Omicron sont très, très légers par rapport à ceux que nous voyons avec la variante Delta.

“Ne paniquez pas”

Les symptômes sont des douleurs musculaires, courbatures, maux de tête et de la fatigue, “ des symptômes qui ne semblent pas empirer et qui disparaissent après environ cinq jours", explique-t-elle.

Le Dr Coetzee dit que : “la plupart ont été traités à domicile, en utilisant des anti-inflammatoire, tels qu'ibuprofène et de faibles doses de cortisone”.

Aussi, le médecin généraliste Angélique affirme : “un confinement ralentirait le processus d’Omicron” et “laisserait la place au variant Delta”. Et elle s’adresse au Premier ministre britannique Boris Johnson : “restez calme (…) prenez-le au jour le jour et ne paniquez pas les gens”.

Selon Dr Angélique, à trop s’agiter, nous passerons à côté des avantages d’une variante qui pourrait être un ami plutôt qu’un ennemi”.

Covid-19 : l’Anses déconseille par précaution l’utilisation du masque FFP2 au graphène.

Mardi 14 décembre, l’agence de sécurité sanitaire alerte sur l’utilisation de masques FFP2 au graphène. Bien qu’il soit impossible pour elle “d’évaluer le risque pour la santé”.

En avril dernier, le Canada signalait déjà des risques potentiels d’utilisation des masques composés de graphène (KN95, FFP2), des analyses y ont été faites avant de l’autoriser à nouveau dans le pays. Aussitôt, la France depuis le mois é » a suspendu en attendant l’avis de l’Anses.

Des résidus de carbone contenu dans les masques FFP2

En effet le nanographène qui rentre dans la composition du FFP2 est composé de carbone de taille nanoscopique. Puisque les masques FFP2 contiennent du graphène, ce matériau synthétique doit être évité par précaution. Après une expertise demandée par la direction générale de la santé, dépendante du ministère, l’Anses : “recommande aux autorités publiques de privilégier la mise sur le marché ou la mise à disposition de masques sans graphène”.

Un manque d’information sur le graphène

Nous rappelons que les masques fabriqués par la société chinoise Shandong Shengquan New Materials avaient été retirés, car ils sont soupçonnés de pouvoir provoquer des problèmes pulmonaires. Selon les analyses, “ les expositions aux substances chimiques retrouvées dans les masques ne dépassent pas les seuils sanitaires, aussi bien pour les adultes que pour les enfants” rassure l’ANSES.

Par ailleurs, l’Anses déclare qu’elle : “manque d’informations sur le graphène utilisé par les fabricants et sur la toxicité de cette substance, en particulier à long terme”. Ainsi, les données dont elles disposent ne mettent pas en évidence des situations d’expositions préoccupantes. Elle ne recommande pas, par mesure de prévention, d’utiliser les masques FFP2 distribués aux personnels soignants.

"I made love with the devil", "j'ai fait l'amour avec le diable".

Anne von Hausswolff, une artiste suédoise, s'est vu interdite de spectacle dans deux églises après que les prêtres de celles-ci aient catégoriquement refusé de voir se produire une artiste chantant qu'elle fait l'amour avec le diable, soupçonnant la jeune femme d'être une sataniste.

On notera la vitesse à laquelle les médias mainstream décriront cette prise de décision comme celle d'un groupuscule extrémiste catholique, allant jusqu'à demander justification aux prêtres en question qui se retrouveront à la limite des excuses, expliquant que ces annulations servent premièrement à préserver le maintien de l'ordre aux portes de l'église.

Le fait que les musiques produites entre en désaccord avec les principes de l'église ne suffit pas aux journalistes mainstreams.

L'allure que les choses prennent nous feront un jour peut-être observer la gay-pride à Notre-Dame.

Après avoir annoncé la fermeture des discothèques, de nouveaux outils vont être mis à votre disposition pour mettre fin à vos jours.

Après sa première conception en 2017, le "Sarco", sorte de cercueil high-tech permettant le suicide assisté par ordinateur, viens d'être légalement approuvé en Suisse.

Son créateur, Philip Nitschke, ancien docteur ayant quitté l'ordre des médecins après avoir détruit par le feu son certificat lui permettant d'exercer, est sobrement surnommé le Docteur Death. A la tête de l'organisation à but non lucratif Exit International, il n'en n'est pas à son coup d'essai. 

Il revendique "le suicide rationnel" et son accès pour tous, pas uniquement pour les gens malades. 
Le docteur Death n'en est pas à son coup d'essai, parmi les prédécesseurs du Sarco, on trouve notamment l'exit bag, un grand sac en plastique avec un cordon permettant de se le fixer au cou, ou encore CoGen, un masque qu'on place sur le visage et qui vous envoi du monoxyde de carbone.

"Mourir ne devrait pas être quelque chose qu’on fait secrètement dans une pièce cachée."

La Suisse étant un des pays les plus avancé sur le suicide assisté pourrait porter un certain intérêt à cet outil, comme le rappelle Swissinfo, quelque 1 300 personnes sont mortes par suicide assisté en territoire helvétique en 2020.

"La capsule est posée sur un équipement qui va inonder l’intérieur d’azote, réduisant rapidement le niveau d’oxygène de 21 % à 1 %. La personne se sentira un peu désorientée et pourra se sentir légèrement euphorique avant de perdre conscience. Le tout dure environ trente secondes. La mort survient par hypoxie et hypocapnie, c’est-à-dire par privation d’oxygène et de dioxyde de carbone, respectivement.

"Il n’y a pas de panique, ni de sensation d’étouffement."

"Naturellement, il y a beaucoup de scepticisme, surtout de la part des psychiatres. Mais notre idée conceptuelle originale est que la personne fasse un test en ligne et reçoive un code pour accéder au Sarco, précise l’ancien médecin australien. Sarco permettrait donc de gérer sa propre mort de A à Z sans aucune assistance médicale. Actuellement, en Suisse, l’euthanasie est pratiquée par l’ingestion de pentobarbital de sodium liquide, elle nécessite plusieurs médecins, notamment un psychiatre.

L’ambition de Philip Nitschke est aussi de supprimer cet examen psychiatrique grâce à une intelligence artificielle.

Au Royaume-Uni, on accuse Sarco et son créateur de glamouriser le suicide et les "chambres à gaz"...

Ghislaine Maxwell : un nouveau témoin à charge l’implique dans les crimes sexuels sur mineurs de son compagnon Jeffrey Epstein.

Présentée sous le nom de Carolyn, elle témoigne au procès de Ghislaine Maxwell, la désignant comme complice du financier américain Jeffrey Epstein, accusé de trafic sexuel. Des faits, qui remontent de 1994-2004, alors qu’elle était encore mineure.

Âgée de 59 ans, Ghislaine aurait partagé avec son conjoint ses multiples fantasmes sexuels. Elle est jugée pour avoir fourni à son compagnon des jeunes filles mineures dont il a abusé sexuellement.

Le récit de Carolyn des événements passés est précis. Elle nous raconte les faits : “nous étions accueillies par Mme Maxwell, une femme plus âgée que nous avec des cheveux noirs”. “Nous montions jusqu’à la salle de bains” où se trouvait une table de massage. Elle ajoute qu’Epstein “se brossait les dents” avant des relations sexuelles.

Bien qu’elle présente la nature de ces relations sexuelles comme étant faites sous la contrainte, elle dit qu’elle était payée 300 dollars à chacune de ses visites à Palm Beach. Elle dit s’y être rendu “plus de 100 fois” dans la résidence d’Epstein à Palm Beach en Floride, et précise qu’ “ à chaque fois, il se passait quelque chose de sexuel”.

Cependant, elle apporte des précisions sur la personne qui l’a introduite auprès de Jeffrey, il s’agit de Virginia Giuffre. Selon les propos de Carolyn : “Virginia m’a demandé si je voulais me faire de l’argent (…) que j’aille rencontrer un ami riche”.

Par ailleurs, Carolyn a déposé une plainte en 2021 à New York contre le prince Britannique Andrew, pour agressions sexuelles sur mineur, il aurait lui aussi profité d’elle, il y a plus de 20 ans. Andrew était un proche de Jeffrey Epstein et de Ghislaine Maxwell.

Un obus coincé dans le rectum, il s’en est fallu de peu...

Un homme passionné d'armes militaires, s’est retrouvé avec un obus de la Seconde Guerre mondiale coincé dans son rectum. Présenté aux urgences mercredi 1er décembre, le Gloucestershire Royal Hospital de Gloucester, dans l’ouest de l’Angleterre, est en état d’alerte.

Une histoire qui aurait pu finir en drame après qu’un homme ait glissé et soit tombé sur un projectile qui a perforé 17 cm sur 6 de son rectum, il a été admis au service des urgences de l’hôpital.

Le porte-parole de l’hôpital déclare : “l’objet avait été retiré avant l’arrivée de la police et l’équipe de déminage de l’armée a été sollicitée”. Il ajoute : “comme pour tout incident impliquant des munitions, le protocole de sécurité pertinent a été suivi pour assurer qu’il n’y avait, à aucun moment, de risque pour les patients, le personnel ou les visiteurs”.

L’analyse a montré qu’il s’agissait d’un obus vide. Un des militaires présent a déclaré : “c’était essentiellement un morceau de métal inerte, il n’y avait donc aucun risque”.

Le patient admis aux urgences a été victime d’une munition provenant de sa collection personnelle d’objets militaires, celle-ci n’a heureusement pas atteint son intestin.

La CIA impliquée dans des affaires de crimes sexuels sur mineurs, les documents internes exposés.

Ces documents datent de 2004 à 2019 obtenus par BuzzFeed News, il s’agit de centaines de rapports internes de la CIA issus de la poursuite judiciaire en vertu de la Freedom of Information Act (FOIA)

La CIA aurait des preuves qu’au moins 10 de ses employés sont impliqués dans des affaires de crimes sexuels sur mineurs. Seulement l’un d'entre eux a été accusé de ce crime pendant que les autres faisaient face à une enquête interne, selon les documents rendus publics.

Un des 10 membres de la CIA inculpés a eu “ une activité sexuelle inappropriée avec fillette de deux ans non identifiée” et il a admis avoir eu un contact sexuel avec un enfant de 6 ans en “deux occasions distinctes”.

Un deuxième employé aurait acheté des vidéos sexuelles de jeunes filles qui ont été filmées par les mères des victimes.

Un sous-traitant de la CIA a été surpris en train de tenter d’organiser des relations sexuelles avec un enfant, qui s'avéra être un agent du FBI sous couverture. Son contrat a été révoqué mais il n'a pas été poursuivi.

Le seul agent de la CIA qui était inculpé de crimes sexuels sur mineurs a été mis en examen pour mauvaise gestion de documents classifiés selon BuzzFeed.

Tous les employés concernés par cette histoire de pédocriminalité ont été révoqués de l’agence, sans être poursuivis en justice.

Un ancien responsable anonyme a déclaré à BuzzFeed que la CIA préférait traiter les incidents en interne parce que les employés qui sont accusés d’un crime “peuvent être forcés pas inadvertance de divulguer leurs sources et leurs méthodes”

En 2015, Vice News a également obtenu des documents par le biais de demandes FOIA qui montraient que la CIA avait connaissance de crimes de pédopornographie qui auraient été commis par son personnel.

Covid-19 : le personnel de santé vacciné ou radié d’ici le 15 décembre, un ultimatum de la direction

Une vingtaine d’agents de santé sont concernés par cette note de la direction qui leur impose de se faire vacciner d’ici le 15 décembre, s’ils ne veulent pas être radiés pour abandon de poste.

Pas de liberté vaccinale dans le cas du Covid-19

Le personnel de santé de cet hôpital risque de couler sous le poids de la censure après que la direction ne veuille pas prendre en compte leurs raisons de ne pas se faire vacciner, mais le considère comme “un abandon de poste”.

Ainsi, ils sont contraints de prendre leur première injection du vaccin contre le Covid-19, au 15 décembre, au risque d’être radiés. Une sanction que l’hôpital Nord Franche-Comté imposera doublé de la mention d'abandon de leur poste aux différents agents concernés.

Par ailleurs, ses membres du personnel étaient suspendus depuis le 15 septembre, sans versement de salaires, car ils refusaient d’être vaccinés.

L’affaire a été portée devant le tribunal de Besançon qui avait donné raison à la direction de l’établissement de santé. Ces derniers ont donc décidé de faire boire le calice jusqu’à la lie aux vingt-trois salariés de l’établissement réfractaire à l’obligation vaccinale.

Présidentielles 2022 : le polémiste Zemmour annonce sa candidature.

Les présidentielles françaises de 2022, se feront avec Eric Zemmour à la course, il a annoncé le mardi 30 novembre, qu’il sera candidat.

“Il n’est plus temps de réformer la France, mais de la sauver ”, c’est avec cette phrase que M. Zemmour a exprimé son intention de se faire élire comme président.

“J’ai décidé de me présenter à l’élection présidentielle” a-t-il annoncé après avoir profité de sa carte de presse pendant plusieurs mois pour une présence quotidienne à la télévision.

Il déclare s’adresser aux Français “exilés de l’intérieur”, à ceux qui “se sentent étrangers” dans leur “propre pays” et se présente “pour que nos filles ne soient pas voilées et que nos fils ne soient pas soumis”.

Eric Zemmour se présente au moment où les sondages se tassent, lui donnant autour de 14 % à 15 % d’interventions de vote au premier tour, derrière le président sortant Emmanuel Macron 25 % et Marine Le Pen entre (19 % et 20 %). Cependant, on déplore un déficit d’organisation de la part de son équipe.

C’est dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux que le polémiste d’extrême droite a annoncé sa candidature. Décrite comme une vidéo aux accents dramatiques et nostalgiques, on y voit Eric Zemmour installé devant une bibliothèque, lisant un texte derrière un micro d’époque s’adresser au peuple français, mimant un parallèle avec l’appel du général de Gaulle du 18 juin 1940. Déclarant que la France ne doit pas se laisser « vassaliser ». Vassaliser ? Par qui ? Le tout sur une musique de Beethoven, un compositeur qui ne reflète pas vraiment la culture française…

Un logiciel espion pour la DGSI : Pegasus en version française

Le nouveau logiciel espion pour pirater les téléphones à distance est un projet de la DGSI. Prévu pour traquer les terroristes, c’est surtout un outil trop puissant qui pourrait servir à des fins politiques.

Piloté à distance, le nouveau logiciel de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) devra accéder au contenu de n’importe quel téléphone de manière sournoise. L’utilisateur du téléphone ne sera pas tenu informé. Ainsi, même si cette action est autorisée par la loi dans certaines conditions depuis 2017, il s’agit d’un grand risque que la sécurité intérieure s’octroie en cas de violation de la vie privée.

Un projet néfaste pour la démocratie.

Le spyware Pegasus a fait l’objet de nombreuses critiques, selon certaines sources. La DGSI a choisi de se lancer dans ce projet, car elle n’avait pas réussi à finaliser le contrat avec Pegasus.

Pegasus du Group NSO, société israélienne, se sert des failles dans le système des téléphones pour s’y introduire et depuis, Apple a déployé un patch à destination d’iOS pour lutter contre ces piratages, mais ceux-ci se basent sur les failles zero-day (c'est-à-dire pas encore connues à part des pirates), découverte à coup de recherches de grande ampleur.

Par ailleurs, ce logiciel espion pourrait être utilisé par le politique contre leurs adversaires, les manifestants des droits sociaux, et les activistes environnementaux, ou encore comme un moyen de pression contre le gouvernement lui-même.

Pays Bas : une émeute à Rotterdam, des manifestants crient à la “liberté” contre les mesures sanitaires et se font tirer dessus par la police.

Des mesures sanitaires  annoncées le 12 novembre entraînent une protestation contre leurs restrictions. Celle-ci a dégénéré dans la ville portuaire de Rotterdam, la police a ouvert le feu sur plusieurs manifestants.

Le confinement partiel prévu depuis la semaine dernière émet des restrictions sur le secteur de la restauration et sur certains sites commerciaux aux personnes non vaccinées, due une recrudescence des cas de Covid-19. Soit, 21.000 nouveaux cas d’infections sont signalées. La protestation des mesures sanitaires a conduit aux affrontements entre les policiers et les manifestants devant le ministère de la Justice, à La Haye.

La police a dû faire face à la furie d’une partie de la population dans l’une des rues commerçantes principales de Rotterdam. Les manifestants criaient au slogan “Liberté”, lançaient des pierres sur les policiers et les pompiers, ils déclenchaient des feux d’artifices, aussi, ils ont mis le feu à plusieurs scooters électriques et à une voiture de police.

Face à une telle réactivité des manifestants, la police déclare : “des coups de semonce ont été tirés à plusieurs reprises. A un moment donné, la situation est devenue si dangereuse que les agents se sont sentis obligés de tirer sur des cibles”. Elle ajoute qu’ “il y a des blessés liés aux coups de feu tirés”. Un total de sept personnes blessées.