De l’utérus humain à un utérus artificiel robotisé, une invention chinoise

Des chercheurs chinois ont mis en place un projet scientifique qui pourrait révolutionner le mode de gestation conventionnelle. Des utérus humains artificiels créés en Chine, gérés par une intelligence artificielle qui veillera au développement du fœtus.

La “nounou robotique" est l’expression donnée à la probable découverte. Un fœtus placé dans un utérus artificiel. L’utérus artificiel ou “appareil de culture d’embryons à long terme” ressemble à une petite poche en plastique, connectée à une série de tubes qui permettent d’apporter les fluides nutritifs nécessaires au développement de l’embryon. L’ensemble de ces éléments est surveillé par une intelligence artificielle capable d’ajuster les flux de dioxyde de carbone et d’éléments nutritifs, mais aussi d’intervenir sur certains facteurs environnementaux.

Le déroulement de la “grossesse” est ensuite classique. Le dispositif serait capable de détecter les anomalies, de classer les embryons en fonction de leur état de santé ou de leur potentiel de développement et d'alerter un technicien.
Encore au stade expérimental, les chercheurs limitent leurs recherches à des embryons d’animaux (la souris). Bien qu’ils souhaiteraient en faire plus. “Il reste encore de nombreux mystères non résolus sur la physiologie du développement embryonnaire humain typique”, indique Sun Haixan, qui dirige la recherche. Ensuite, la gestation pour autrui est interdite en Chine, les hôpitaux se refusent à des expérimentations jugées "illégales".
Selon les chercheurs, c’est une solution en Chine à la réduction de la mortalité des grands prématurés, et aussi de permettre aux femmes qui ont des risques à la grossesse et d’accouchement d’avoir un enfant malgré tout.
Des questionnements surgissent et les dérives inquiètent : quid du lien avec la mère ? Et quel impact sur le développement émotionnel de l’enfant ? Sans parler d’eugénisme et des risque induit par le fait de sélectionner les meilleurs embryons pour “faire société".

Pédopornographie : Jérémie Ladreit de Lacharrière en détention, des photos d’enfants retrouvées à son domicile

Une perquisition de la police chez Jérémie Ladreit de Lacharrière, à permis de trouver des milliers d’images pédopornographiques dans son ordinateur. Des photos des jeunes enfants et des adolescents de leurs amis.

Jérémie de Ladreit de Lacharrière avait déjà fait l’objet d’une enquête de police en la matière. En effet, il avait été condamné à deux reprises, en 2008 et 2015 dans des affaires pédopornographiques. Cette fois, c’est son ex-compagne qui le dénonce après l’avoir surpris en pleine séance de masturbation devant des images de jeunes filles et de jeunes garçons.
Selon la police, la perquisition faite dans le domicile de Jérémie Ladreit de Lacharrière, a permis de saisir 4 000 fichiers numériques dans son ordinateur représentant des mineurs, dont 2728 photos d’enfants en position suggestives. “ Des clichés d’enfants d’amis proches prises par l’homme de 44 ans à l’insu des parents lors de vacances dans la propriété familiale en Ardèche”. Jérémie collectionne 46 fichiers numériques appelés “kids”, “Girls” “boys”.
Le quadragénaire multi-récidiviste pédocriminel est soupçonné “d’importation, enregistrement et détention d’images pédopornographiques de mineurs”. Toutefois, sa comparution n’a pas été immédiate, car des experts psychologiques et psychiatriques ont été demandées. Au final, le fils du milliardaire Marc Ladreit de Lacharrière a été arrêté puis écroué dans l’attente de son procès.
 

Son fondateur répond.

“Personne ne devrait faire confiance à Wikipédia”, prévient le co-fondateur du site

Larry Sanger co-fondateur de Wikipédia, affirme que le site a été repris par des “volontaires” de gauche qui considèrent comme fausses les sources qui ne correspondent pas à leur programme.

Larry Sanger, 53 ans a cofondé Wikipédia avec Jimmy Wales en 2001, il a déclaré que le site avait été repris par des éditeurs bénévoles soutenant les démocrates.

Sanger a déclaré que les éditeurs de gauche n’autorisent pas les utilisateurs de Wikipédia à éditer des pages.

Ainsi, il a pris pour exemple l’entrée de Wikipédia sur Joe Biden. Ce dernier est un parti-pris de la gauche américaine. L’entrée de Biden ne fait pas mention des scandales.

Jean-Luc Brunel, l’ex-agent de mannequins s’est suicidé en prison.

Le milliardaire américain a été retrouvé pendu dans la nuit de samedi dans sa cellule de la prison parisienne de la Santé. Il avait été mis en examen en décembre 2020 pour “viols sur mineurs” et “harcèlement sexuel”.

Le parquet de Paris a confirmé que Jean-Luc Brunel, âgé de 74 ans, est retrouvé mort. Une enquête a été ouverte par le 3e district de police judiciaire afin de connaître les causes de celle-ci. Le suspect avait été placé sous le statut intermédiaire de témoin assisté pour des faits de “traite des êtres humains aggravée au préjudice de victimes mineures aux fins d’exploitation sexuelle”.

L’ex-agent des mannequins est interpellé en décembre 2020 à l’aéroport Charles-de-Gaulle, il s’apprêtait à prendre un vol pour Dakar. Il a été mis en examen, et incarcéré par la suite, il avait été libéré sous contrôle judiciaire en l’espace de quelques jours en novembre dernier, avant d’être remis en détention sur décision de la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris. Avant de former un pourvoi en cassation contre cet arrêt.

Une affinité est trouvée avec l’affaire de Jeffrey Epstein, lorsque le 20 juillet ce dernier est inculpé aux Etats-Unis pour avoir organisé entre 2002 à 2005, un réseau de jeunes filles qu’il aurait exploité sexuellement.

Le parquet de Paris, alerté par l’existence potentielle de mineures françaises parmi les victimes de Jeffrey Epstein, avait ouvert une enquête préliminaire en août 2019. Une plainte avait été déposée deux mois plus tard contre Jean-Luc Brunel pour des faits de “harcèlement sexuel”.

 Moderna : 30 millions de dollars d’action vendue, après une “vraie” “fausse” information. 

La société Biotechnologie a annoncé que les premiers résultats sont prometteurs pour son vaccin contre le coronavirus. Ainsi, le cours de l’action de Moderna a grimpé en flèche jusqu’à 30 % lundi. Deux initiés vendaient leur action à coup de millions.

Wall Street connaît une hausse du cours des actions de Moderna après qu’une information sur de résultats encourageants d’essais de vaccins ait fusé avant l’ouverture des marchés lundi. Le cours de l’action de Moderna atteint un sommet de 87 dollars lundi.

Le directeur financier et le directeur médical de Moderna ont pu exécuter des options et ils ont vendu près de 30 millions de dollars d’actions combinées lundi et mardi.

Lorence Kim, directeur financier de Moderna, a traité lundi 241 000 options pour 3 millions de dollars, en fonction des actions déposées. Il les a par la suite vendues pour 19,8 millions de dollars créant un bénéfice de 16,8 millions de Dollars.

Par la suite, Tal Zaks médecin chef de Moderna, a dépensé 1,5 millions de dollars pour exercer des options. Il a vendu les actions pour 9,977 de dollars, déclenchant un bénéfice de 8,2 millions de dollars.

La valeur marchande de Moderna a atteint 29 milliards de dollars et pourtant la société n’a pas encore commercialisé le produit.

Moderna a voulu justifié ces actions en disant : “ces transactions s’exécutent automatiquement, conformément à ces plans commerciaux”.

Par ailleurs, le cours de l’action de Moderna a chuté de 10 % à 71,67 dollars, mardi après que le site Web de santé STAT ait rapporté que les experts en vaccins avaient conclu que la société n’avait pas publié suffisamment d’informations pour savoir à quel point les résultats de la phase 1 étaient importants.

Il est ensuite retombé en dessous de 70 dollars, les experts médicaux ont débattu de l’importance des premières découvertes.

Covid-19 : Djokovic ne compte pas se vacciner, il ne participera pas à Roland-Garros et à Wimbledon.

 La vaccination obligatoire n’est pas la panache de Djokovic, le tennisman serbe se dit prêt à ne pas participer à Roland-Garros et à Wimbledon.

“Je n’ai jamais été contre la vaccination, a déclaré Novak Djokovic, mardi 15 février. Cette décision est soutenue par son principe qui est plus important pour lui “que n’importe quel titre”. A travers ses propos : “j’essaie d’être en phase avec mon corps, autant que possible”, il parle de sa liberté de choisir s’il veut être vacciner ou pas.

 Il avait par ailleurs été expulsé d’Australie en janvier, les autorités australiennes avaient annulé son visa. Il n’a pas défendu son titre à l’Open d’Australie, à Melbourne. “J’étais triste et déçu” ont été ses paroles lorsqu’il s’est prononcé sur le sujet. Quand il parle de ces absences aux tournois parisiens et londoniens, il dit : “oui, c’est le prix que je suis prêt à payer”.

Pour avoir été vacciné dans sa jeunesse, il dit ne pas être “contre la vaccination” mais soutient “la liberté de choisir ce qui entre dans son corps”. Il n’annonce pas son retrait définitif des compétitions, car il veut “jouer encore pendant de nombreuses années”, comme il l’affirme. Alors il reste ouvert à une éventuelle vaccination pour lui dans l’avenir, sait-on jamais.

“Parce que nous cherchons tous, collectivement, la meilleure solution possible pour mettre fin au Covid”, a-t-il souligné.

Convoi de la Liberté : Trudeau menace de geler les comptes des manifestants.

Des mesures radicales sont émises par le Premier ministre canadien après trois semaines de manifestations du convoi de la liberté dans la ville d’Ottawa. L'État d’urgence annoncé et déjà une autre menace s’érige contre ces derniers, le gel de leurs comptes bancaires.

Trudeau a déclaré que la police recevrai “plus d’outils” pour emprisonner ou infliger des amendes aux manifestants. Auparavant, les forces de l’ordre ont repoussé les manifestants du pont Ambassador à Windsor. Selon le Premier ministre, il s’agit d’un acte d’une portée dont la mesure sera “limitée dans le temps”, “raisonnable et proportionnée” et ne verrait pas l’armée se déployer.

Par ailleurs, la vice-première ministre Chrystia Freeland a déclaré lors de la conférence de presse lundi que les banques pourraient geler les comptes personnels de toute personne liée aux manifestations sans avoir besoin d’une ordonnance du tribunal, et que l’assurance automobile de toute personne impliquée dans la manifestation pourrait être suspendue, elle conclut en évoquant le durcissement des règles canadiennes sur la cryptomonnaie, les plateformes de financement participatif, car dit-elle, ils “financent le terrorisme” .

Avisée des mesures de répression de l’Etat, l’Association canadienne pour les libertés civiles a déclaré que cette procédure est une “menace à notre démocratie et à notre liberté”. Ainsi, à Ottawa, le leader de la protestation Tamara Lich a rejeté la décision de Trudeau et a déclaré : “ Aucune menace ne nous effraie, nous tiendrons la ligne”.

Sans surprise, les pirates ont publié les détails de ce qu’ils ont dit être 93.000 dons pour les camionneurs, totalisant 8,4 millions de dollars (6,2 millions de livres sterling) à la plate-forme GiveSendGo.

Des millions de français sans pass vaccinal dès mardi prochain

Dès le 15 Février, des millions de personnes qui n’auront pas leur dose de rappel à jour pour prolonger leur pass, le verront se désactiver.

Selon l’estimation du ministère de la Santé, entre 4 et 5 millions de personnes de plus de 18 ans et un mois pourraient perdre leur pass dans une semaine, si elles ne se font pas vacciner.

À cette même date, parmi les 46 millions d’habitants de la France qui ont été vaccinés il y a au moins 4 mois, 36,7 millions ont reçu une dose de rappel depuis le début septembre, avec des disparités entre les tranches d’âge. Bien que les jeunes adultes ont moins tendance à venir faire un rappel. Et sur les 9,3 millions restants, 4,5 millions ont été infectés il y a au moins trois mois.

“Une infection = une injection”, Olivier Véran établit ainsi mercredi dernier une nouvelle règle, qui est que les personnes doublement vaccinées puis contaminées n’ont plus d’obligation de troisième dose pour conserver leur pass vaccinal. De même pour les personnes infectées qui ont reçu leur première dose aussi et ont été contaminées. Néanmoins, le pass vaccinal reste obligatoire pour passer les frontières française

Vladimir Poutine plante le décor, les français veulent-ils la guerre avec Moscou?

Une conférence de presse est tenue à Moscou, dans laquelle le Président Russe Vladimir Poutine relate de manière très claire, sa pensée sur l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN. Il est conscient que cela engendrerait un conflit, impliquant tous les pays de l’OTAN et il assume sa position.

Après l'accueil glacial qu'a accordé la Russie à Macron à sa descente d'avion et la rencontre de Macron et Poutine autour d'une table on ne peut plus longue, Poutine a répondu à un journaliste français.

Poutine a rappelé que Kiev considère la Crimée comme une partie de son territoire, en dépit de son attachement à la Russie à l’issue d’un référendum de 2014 fondé sur le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Et les Occidentaux considèrent également ce rattachement de la Russie à la Crimée comme une annexion illégale. Vladimir Poutine : “Si l’Ukraine rentre dans l’OTAN et s’ils décident de prendre la Crimée par les moyens militaires, les pays européens seront automatiquement en guerre avec la Russie”, en référence à l’art 5 de L’Alliance Atlantique.

Portée à l’attention d’un journaliste français, Poutine demande : "Que va-t'il se passer ? Il y aura la guerre entre la Russie et l’OTAN ? Demandez à vos concitoyens s’ils veulent que la France entre en guerre contre la Russie ? ”, avant de renchérir : “les capacités militaires de l’OTAN et de la Russie ne sont pas comparables, même si la Russie est une superpuissance militaire, une superpuissance nucléaire. Il n’y aura pas de gagnant”.

Après son échange avec Emmanuel Macron, lors de cette conférence de presse commune, le 07 février à Moscou, Vladimir Poutine a déclaré : être en faveur de “certaines des idées” avancées par le chef d’Etat français, mais il a critiqué le refus de l’occident d’accéder à ses principales requêtes, celles de la fin de la politique d’élargissement de l’OTAN, de l’engagement de ne pas déployer d’armes offensives à proximité des frontières russes et du retrait des infrastructures militaires de l’Alliance sur les frontières de 1997.

Philippe Val accuse les routiers d’être des vecteurs puissants de virus entre les pays.

Le convoi de la liberté version France serait en cours de préparation. Cette initiative évoquée le 4 février est à l’image du Canada. Philippe Val ancien, directeur de Charlie Hebdo, exprime une piètre opinion à l’égard des camionneurs. Pour lui, ils ont le plus propagé le sida à ses premières heures dans le continent.

Une calomnie de tout un corps de métier

Les routiers traversent plusieurs villes et pays par an, ces déplacements leur permettent de rencontrer des personnes différentes chaque jour. Philippe Val s’appuie sur cet élément propre à leur travail qui est leur déplacement pour dire qu’ils constitueraient une population à risque en période épidémique, et donc cette profession devrait se faire le plus vacciner.

L’ancien chef de la rédaction de Charlie Hebdo déclare : “au début, le sida s’est propagé précisément par les routiers, ce n'est pas de leur faute évidemment, mais ils traversent les frontières (…). Ils font partie des vecteurs de virus, s’il y en a qui doivent se faire vacciner et avoir un pass vaccinal, ce sont les routiers.”

Cette intervention a suscité de vives réactions de la part de plusieurs journalistes. Maxime Thiébaut : “il est certain que si l’idéologie qui anime nos dirigeants aujourd’hui avait été celle de ceux aux premières heures du SIDA, les années 80/90 auraient été empreintes d’une grande inhumanité”. La journaliste Aude Lancelin, elle exprime son dégoût face à de tels propos. Elle commente : “la nausée”.

Selon les organisateurs du convoi de la liberté en France, “c’est un convoi en partance de toute la France pour aller rejoindre la capitale”.

GoFundMe gèle les fonds perçus en soutien au convoi de la liberté.

Le convoi de la liberté a pu lever 10 millions de dollars lors de leur marche de protestation contre l’obligation vaccinale. Une action qui a paralysé l’Est de la ville d’Ottawa pendant plusieurs jours. GoFundMe a suspendu l’accès à ses fonds pour une “bonne gestion” desdits fonds.

Les fonds ont été gelés par GoFundMe, la première fois en mi-janvier lorsque le montant était de 4,5 millions de dollars. La raison évoquée par GoFundMe était qu’il avait besoin de plus de détails sur l’allocation de ces fonds aux différents organisateurs.
Jeudi dernier, un million a été remis aux organisateurs après que GoFundMe ait eu un plan pour la distribution de cet argent aux camioneurs, afin de couvrir leurs dépenses en carburant lors des protestations au Parliament Hill.

Dès mardi, une que fois les fonds levés ont atteint les 9,5 millions de dollars, son accès a une fois encore été bloqué. Selon les prescriptions liées à la levée de fonds, les organisateurs avaient statué en faveur de la répartition de cet argent dans les charges liées au voyage des camionneurs, comprenant le carburant, la nourriture, le refuge, les fonds restants devant être remis à “une organisation d’anciens combattants crédible qui sera choisie par les donateurs”.

“Cette collecte de fonds est actuellement en pause et en cours d’examen pour s’assurer qu’elle est conforme à nos conditions d’utilisation et aux lois et réglementations applicables”, a déclaré GoFundMe.

Par ailleurs, ce mercredi la conseillère municipale et présidente de la Commission des services policiers d’Ottawa, Diane Deans a suggéré au maire d’Ottowa de bloquer l’accès des manifestants aux millions qui avaient été amassés. “Ils financent ces mercenaires et ce flux de financement doit être interrompu”, a déclaré Deans.

Encore un problème auquelle la décentralisation et la cryptomonnaie apporte une solution.

Une école juive Orthodoxe accusée de maltraitance sur des adolescents et jeunes adultes.

L’école de Ohr Yossef regroupe plus d’une centaine d’étudiants, venant du monde entier. Ces jeunes sont soumis à un régime très strict au point où les instances judiciaires l’on qualifié de maltraitance sur les personnes concernées. Accusé de dérives sectaires, 16 responsables de l’établissement ont été mis aux arrêts.

Situé à 60 km à l’Est de Paris, Boussières abrite une institution nommée la Yeshiva de Beth Yossef, fondée en 1948 par le rabbin orthodoxe Gershon Liebman. Elle accueillait 40 adolescents de plus de 12 ans ainsi que 22 jeunes majeurs, principalement de nationalité israélienne et américaine.

Avi Ran, l’un des fugueurs a dit qu’ils subissent un “lavage de cerveau”. Âgé de 33 ans, le jeune homme était pensionnaire pendant 12 ans dans cet établissement.

Dans son récit fournis aux autorités, il dit : “au début, c’était bien, on avait l’impression d’être pris en main, même si les méthodes paraissaient très dures” mais “rapidement, on comprend qu’on est en prison, qu’on a plus de passeports, qu’on ne peut pas sortir du lieu (…) on pouvait passer des mois, même des années sans passer la porte de l’école, sauf pour rentrer en Israël exceptionnellement.”

Lorsque Avi Ran aborde la phase des châtiments, il dit : “ils jettent l’opprobre sur l’un ou l’autre publiquement en disant qu’il sort du chemin et les autres ne peuvent plus lui parler” et aussi, “il y a des coups physiques”.

La procureure de Meaux, Laureline Pierrefitte décrit que l’accueil des élèves se fait “dans des conditions abusives”, “enfermement, confiscation des documents d’identités, conditions de vie dégradées, actes de maltraitance, absence d’accès à l’éducation et aux soins, et sans possibilité de revenir dans leur famille”.

Les mineurs sans “autorisation parentale sur le territoire français” ont été pris en charge par l’aide sociale à l’enfance (ASE) pour un accueil provisoire en urgence indique le département de l’ASE.
 

Nous attendons désormais de voir si les grand penseurs de notre époque Eric Zemmour et Alain Finkielkraut comptent cette école parmi les "territoires occupés de la république".

Royaume Uni : un taux de mortalité élevé chez les jeunes adolescents vaccinés

Le jeudi 13 janvier, à la Haute Cour de Justice de Londres, l’ONS a confirmé une augmentation de 62 % par année consécutive du taux de mortalité des adolescents et de jeunes adultes de sexes masculins vaccinés contre le Covid-19 de 2019-2021.

Un comité de 80 scientifiques et professionnels de la santé demande une enquête urgente et une réponse dans les sept jours, dans une lettre ouverte qu’ils ont signé et adressé au secrétaire d’Etat à la santé Sajid Javid, au conseiller médical du gouvernement Chris Whitty, au conseiller scientifique du gouvernement Patrick Vallance et aux organismes de santé publique concernés.

La lettre explique que 402 décès sont enregistrés chez les hommes de 15 à 19 ans de 2019-2021, ce qui est 65 de plus que la moyenne annuelle qui était de 337 entre 2015-2019.

Par la suite, la lettre affirme que l’ONS redoute que certains décès n’ont pas été enregistrés. Car les décès enregistrés en moyenne par an au cours de cette période, ne représentent que 62 % des décès réels survenus. Il accuse un retard dans les enregistrements, ce qui implique que les 65 décès d’hommes en excès pourraient être en réalité de 105 décès par an.

Sur la table des réclamations, les plaignants ont dit vouloir que :

- les décès anonymisés et les informations connues par les services de santé soient publiées pour une transparence totale dans l’intérêt public.

- les données concernant les décès consécutifs à la vaccination Covid-19 devrait être examinées séparément étant donné ce que l’on sait de la probabilité qui est très élevée pour le risque de myocardite chez les jeunes hommes.

Le comité mixte de la vaccination et de l’immunité (JCVI) avait au préalable refusé de recommander la vaccination des enfants de 12 à 15 ans en bonne santé (avant de l’aviliser). Mais cette décision avait été annulée par les quatre médecins chefs d’Angleterre, du Pays de Galles, d’Écosse, et d’Irlande du Nord. Pour eux, le vaccin était la preuve que les enfants se porteraient mieux en se basant sur le nombre réduit des absences scolaires, sans tenir compte des risques sur le long terme.

Dieudo mis en examen pour avoir révélé dans une vidéo des faits d’agressions sexuelles

Manuel Valls ancien Premier ministre, a été cité dans une vidéo de l’humoriste Dieudo sur YouTube publiée en 2020, pour les faits d’agressions sexuelles sur l’une de ses élèves, datant de la période où il était professeur. Cette affaire portée devant les tribunaux, Dieudonné M’Bala M’Bala est accusé pour diffamation par Manuels Valls et mis en examen.

Selon des informations contenues dans la vidéo du 22 octobre, “il y a un dossier, elle a porté plainte, il a été entendu, il y a eu une garde à vue, hein, hein, Manu (rires)”. Il s’agit donc des informations claires qui pourraient être vérifiées et analysées. Cependant, dans le but d’une “intimidation”, Dieudo est mis en examen le 13 décembre pour “diffamation publique envers un particulier” par un juge d’instruction de Nanterre (Hauts-de-Seine) en France.

Afin d’alourdir les charges contre Dieudo, les juges ont voulu lui attribuer une autre affaire pendante en justice pour diffamation, tant bien même que Dieudo ait affirmé ne pas être responsable de cette vidéo illustrant une figure semblable à la sienne. Car il s’agit d’un “deepfake” a-t-il affirmé.

Un Irlandais risque 20 ans de prison pour refus de port de masque et avoir montré ses fesses en public dans un avion.

Shane Mclermey, 29 ans, est accusé de refus de port de masque, d’agression et d’intimidation, sur le vol Dublin- New York, alors qu’il se rendait en Floride pour un emploi de formateur de football. Il risque jusqu’à 20 ans de prison.

Vendredi dernier, la justice américaine a inculpé un jeune homme originaire de Galway en Irlande. Comparu le 14 janvier devant le tribunal fédéral, elle affirme qu’il aurait : “volontairement agressé et intimidé un membre du personnel navigant du vol Delta Airlines 45 reliant Dublin à l’aéroport JKF”. Et qu’il aurait par ailleurs, montré ses fesses en public en cette même date du 7 janvier, selon le rapport judiciaire.

Le porte-parole du tribunal de Brooklyn déclare que ses actes constituent un crime et s’il est reconnu coupable, l’accusé pourrait encourir jusqu’à 20 ans de prison. De façon quasi détaillée, il aurait “refusé de manière répétée de porter un masque”, d’avoir “lancé une canette de boisson qui a tapé la tête d’un passager” ainsi que d’avoir “baissé son pantalon et ses sous-vêtements et montré ses fesses à un membre de l’équipage et aux passagers” et enfin “retirer sa casquette pour la mettre sur la tête du commandant de bord”.

Il a été libéré sous caution pour 20 000 dollars dans l’attente de son procès.

Royaume-Uni : le gouvernement admet avoir grossi le nombre des morts dues au Covid-19

Le ministre de la Santé Sajid Javid a reconnu que lors du dénombrement des personnes décédées au cours de la pandémie, celui des personnes infectées du coronavirus, mais mortes pour d’autres raisons a été comptabilisé comme mortes du covid-19, après avoir été testées positives.

Une manipulation des chiffres par le gouvernement exposée

Au cours de la semaine du 7 janvier, l’Agence britannique de sécurité sanitaire avait signalé 1 282 personnes décédées dans les 28 jours suivant un test positif au covid. Peu de temps après, des données émises par l’organisme national de statistiques (ONS) révèlent qu’il n’y a eu que 992 enregistrements de décès “avec Covid”, mentionnés sur les certificats de décès. Ensuite, il a été établi par l’ONS que seules 712 personnes sont véritablement mortes du Covid cette semaine là.

Par conséquent 44% du chiffre de ce quotidien gouvernemental sur les décès, communiqué par celui-ci, ne sont pas exclusivement dûs au Covid.

Susan Hopkins, conseillère médicale en chef de l’Agence britannique de sécurité sanitaire, a confirmé peu de temps après que des personnes dont le décès n’est pas véritablement dû au Covid fussent englobées dans les chiffres quotidien du gouvernement.

Une infection accidentelle des patients atteints de Covid-19

Le 19 janvier, le ministre de la Santé Sajid Javid à la conférence de presse à Dozing Street, a déclaré : “Nous estimons qu’environ 40% des personnes ayant le Covid à l’hôpital n’y sont pas parce qu’elles ont le Covid, mais parce qu’elles ont le Covid par hasard, c’est ce qu’on pourrait appeler une infection accidentelle”. Par la suite, il a lui aussi admis, que des morts “avec” le Covid avaient été comptabilisés comme mort “due” au Covid.

Le gouvernement peine à faire appliquer le passe vaccinal aux Antilles, il abdique

Près de 60 % de la population antillaise n’est pas vaccinée, ils sont antivax. Le gouvernement impuissant, a émis un amendement afin de garantir à certains agents de santé la sécurité, ainsi que le calme dans ces régions.

Les dispositions de l’art 1 al 58 stipulent : “lorsque les circonstances locales le justifient, le représentant de l’Etat, territorialement compétent peut adapter les mesures de restrictions, en renforçant les outils de gestion de la crise sanitaire”. Cette exception à la règle évoque en filigrane la Guadeloupe, la Martinique et la Guyane réfractaires au passeport vaccinal.

Au préalable évoqué par la députée MoDem de Guadeloupe Justine Benin, par cette disposition : “ le passe vaccinal ne remplacera pas le passe sanitaire dans certains territoires (…) il y aura une mise en œuvre différée”. Elle a été adoptée par l’Assemblée.

Cependant, le ministre de la Santé Olivier Véran lors des débats en commission dès la fin décembre a déclaré : “ on ne veut pas re enflammer un conflit social”. “En outre-mer, le gouvernement sera favorable à un amendement pour éviter (…) dans certains territoires ultramarins, qui fera place à la négociation et la discussion avec les acteurs locaux”.

Les antivax aux Antilles passent à l’action et expriment leur volonté du refus de la vaccination obligatoire. Il y a deux semaines, le patron du CHU de Guadeloupe a dû être exfiltré, après une tentative de séquestration par des antivax. il y a également eu des grèves générales et même certains professionels de la santé n’ont pas céder à l’obligation vaccinale.

Mckinsey France face au Sénat, les questions qui coincent

Le cabinet de consultation américain Mckinsey, offre ses services au gouvernement français à coup de millions d’euros, de quoi faire ouvrir une commission d’enquête par le Sénat sous le thème : “l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques.

Convoqué mardi 18 janvier au Senat, Karim Tadjeddine responsable du pôle Secteur public de Mckinsey France est interrogé par la rapporteuse Eliane Assassi : “vous avez obtenu un contrat d’un montant de 496.800 euros pour évaluer les évolutions du métier d’enseignant. Vous pouvez nous dire à quoi a abouti cette mission ?”
Karim Tadjeddine répond qu’il s’agissait d’organiser “un séminaire pour réfléchir aux grandes tendances des évolutions du secteur de l’enseignement”, avant de rajouter : “Nous avons accompagné la DITP (direction interministérielle de la transformation publique) dans cette réflexion”. Mais, cette réponse est “un peu imprécise” pour la rapporteuse qui rappelle que puisqu’il s’agit d’une “somme assez conséquente" il doit être plus clair. "Ça a abouti à quoi précisément ?” Aucune explication ne lui fut apportée.

Par la suite, l’attention est portée sur l’expertise du cabinet conseil “généraliste” en matière de politique vaccinale. Eliane Assassi a voulu connaître le degré d’implication de Mckinsey, car selon les chiffres avancés par la députée Véronique Louwagie (LR) en février 2021, le ministère de la Santé a signé entre mars 2020 et janvier 2021 un contrat de 4 millions avec le cabinet de conseil Mckinsey, pour la gestion de la crise sanitaire. Thomas London, responsable du pôle Santé Publique du bureau français, a déclaré que le gouvernement a sollicité son cabinet pour “un appui très ponctuel dans l’accélération de la campagne de rappel” vaccinal et il a ajouté ceci : “nous n’avons pas eu de rôle dans la définition de la stratégie vaccinale”. Une autre réponse qui n’a pas convaincu Éliane Assassi.

Pour rappel, Karim Tadjeddine, le patron de McKinsey serait un ami et au moins un soutien d'Emmanuel Macron dans sa campagne présidentielle de 2017.

Écosse : la levée des restrictions liées au variant Omicron

Le variant Omicron a mis l’écosse en état d’alerte et des dispositions sanitaires ont été prises en décembre pour freiner la propagation du variant. À peine un mois après, l’Écosse lève la quasi-totalité de ses restrictions.

Le Premier ministre Écossais, Nicola Sturgeon est ravie du contexte sanitaire actuel de son pays. Le 18 janvier, elle a évoqué “un optimisme retrouvé et son espoir que la nation soit entrée dans une “phase plus calme” de la pandémie. Ce qui a conduit à la révision des dispositions prises pour lutter contre cette dernière. Les restrictions liées au variant Omicron concernaient principalement “les bars, les restaurants et les discothèques”.

Nicola Sturgeon évoque la présence de facteurs qui “permettent de croire que le cap de la vague Omicron a été franchi”. Ainsi, il en va de même pour “toutes les restrictions mises en place en réaction à l’émergence d’Omicron”, elles vont être supprimées. Ainsi, dès lundi, “le service à table ne sera plus obligatoire dans les pubs, et les restaurants pourront revenir à leur pleine capacité, sans distanciation sociale”. Aussi, les discothèques pourront rouvrir, même si leur fréquentation sera toujours soumise au pass sanitaire. Enfin, aucune jauge ne limitera plus les événements en intérieur.

Qui a livré Anne Frank et sa Famille aux nazis ? Le mystère élucidé.

Anne Frank, juive exilée à Amsterdam en 1933, est la symbolique de la shoah, pour avoir écrit son quotidien et exprimé ses émotions dans son journal intime, plus tard exploité par son père et repris allègrement par l'éducation nationale.

Dans le livre sorti après sa mort, Anne se livre sur la vie fugitive des juifs sous l’occupation allemande. Après deux ans de vie cachée, le refuge de la famille est découvert par les nazis, la jeune fille âgée de 15 ans est envoyée au camp de concentration avec sa famille et les autres habitants du refuge. Elle décède du typhus à Bergen-Belsen quelques temps après sa déportation, ainsi que toute sa famille à l’exception du père, Otto Frank.

Suite à une enquête ouverte il y a plus de 6 ans pour connaître le nom de la personne qui a trahi la famille Frank, les conclusions présentent le notaire Arnold Van Den Bergh, membre du Conseil juif d’Amsterdam, comme celui qui aurait donné l’adresse de l’annexe secrète aux nazis en 1944.

Anne Frank et sa famille étaient cachées derrière l’entreprise d'Otto Frank, son père à Prinsengracht, avec une autre famille qui les avait rejoints.

Selon les enquêteurs, une lettre a été remise au père d'Anne impliquant l’avocat Van Den Berg dans l’affaire tragique dont sa famille est victime. Mais il n'aurait pas divulgué cette information pour protéger sa communauté. Pour plusieurs personnes, “Arnold van den Berg a transmis une liste d’adresses de cachettes au Sicherheitsdienst (service de renseignement et de maintien de l’ordre de la SS) en échange de la protection de sa propre famille.

Le décret d’Ibiza : la rentrée scolaire sous Omicron ; Blanquer taclé par l’opposition

De nouvelles mesures sanitaires s’imposent aux écoles un jour avant la rentrée des élèves. Le ministre de l’Éducation a sorti ce protocole sanitaire depuis Ibiza où il serait en vacances, de quoi susciter la colère de l’opposition qui appelle à sa démission.

Le protocole sanitaire pour les écoles est de base jugée assez contraignant, une décision prise loin de son poste de ministre, donne un écho défavorable. Une internaute déclare : “toi le ou la prof, tu es revenu un jour plus tôt pour préparer la rentrée ? Eh bien, sache-le ton ministre s’en fiche”. De quoi se dire que le ministre n’a pas su apprécier la délicatesse de la situation.

Othman Nasrou, vice-présidente de la région Île-de-France, demande au ministre de “s’expliquer sur les circonstances et les raisons de ce fiasco”. Alors qu’elle etait pour un report de la rentrée de janvier afin de mieux la préparer.

Le premier secrétaire du PS Olivier Faure, déplore une absence de stratégie efficace : “le retard dans la communication du protocole était officiellement lié à la nécessité de coller à la réalité de la rentrée. la rentrée scolaire sous Omicron.

Cet incident suscite des réactions vives. “Trop, c’est trop. Jean-Michel Blanquer doit démissionner”, a réagi la présidente du groupe LFI à l’Assemblée nationale, Mathilde Panot.

À son tour, le candidat écologiste à la présidentielle Yannick Jadot dit qu’il : “demande de nouveau la démission de Jean-Michel Blanquer”, car “au lieu de préparer avec les enseignants et les parents d’élèves une rentrée sous covid-19, le ministre organisait un coup médiatique les pieds dans le sable. Ce niveau de mépris et d’irresponsabilité n’est pas acceptable.”

Au vu de ces mesures, de nouvelles grèves dans les écoles, collèges et lycée seront organisées jeudi, contre le protocole sanitaire jugé complexe, inadapté et comme ayant désorganisé les établissements.

L’inutilité du pass vaccinal face au variant Omicron

Le contexte sanitaire contraignant actuel issu de la pandémie du Covid-19, a contribué à l’adoption dimanche d’une loi par l'Assemblée nationale qui porte sur le pass vaccinal en France. La population à l’obligation de se faire vacciner si elle veut jouir des privilèges et des libertés de la république.

“Le pass vaccinal est une erreur”

Les avertissements de certains scientifiques au vu de la panique créée par la propagation du variant Omicron n’ont pas été pris en compte par les Élus de la nation. “D’un point de vue épidémiologie, santé publique, médicale, le pass vaccinal est clairement une erreur”, affirme Eric Caumes, le chef de service en maladies infectieuses à la Pitié-Salpêtrière.

Le France compte plus de 300.000 contaminations quotidiennes, ainsi, il est suffisamment clair que le vaccin ne prévient pas le Covid-19.

Le professeur Bertrand Guidet, chef du service de réanimation de l’hôpital Saint-Antoine affirme : “en termes de santé publique, l’impact du pass vaccinal par rapport au pass sanitaire me paraît modéré”. Il renchérit : “on voit bien que le vaccin n’empêche pas la circulation du virus en population générale, on en a la constatation tous les jours”.

La France a atteint son lot de vaccination

Eric Caumes infectiologue à la Pitié-Salpêtrière, il précise : “À l’époque, j’ai dit que j’étais pour un pass vaccinal et pas sanitaire. On aurait eu beaucoup moins de morts avec le Delta”. Cependant, “la situation épidémiologiste aujourd’hui n’est plus la même ”, car “aujourd’hui, on a fait le plein en termes de vaccination”.

Le variant Omicron qui n’est pas aussi virulent que le variant Delta, suscite des décisions inappropriées de la part du gouvernement. Aussi, le durcissement des mesures liées à Omicron semble avoir une connotation plus politique que scientifique.
 

Le fils de la reine Élisabeth II, prince Andrew, 61 ans, était un ami proche de Jeffrey Epstein. Il est aujourd’hui accusé d’agression sexuelle sur mineur au côté de Jeffrey. Il est poursuivi au civil à New York par Virginia Guiffre, 38 ans, qui l’accuse d’avoir eu des rapports sexuels avec elle quand elle avait 17 ans. Ils se seraient connus lors d’une soirée chez Jeffrey Epstein. Une affaire qui lui a coûté ses titres militaires.

Malgré les efforts du prince à clamer son innocence, ceux-ci ont été réduits à néant, après une interview calamiteuse en 2019. Depuis lors, il s’est retiré de la vie publique.

D’après un communiqué du palais de Buckingham : “avec l’accord et l’approbation de la reine, les affiliations militaires et parrainages royaux du duc d’York ont été rendus à la reine, le duc d’York continuera n'assumera plus de fonctions publiques et se défend dans cette affaire comme citoyen privé”.

Ainsi, le prince a été déchu jeudi 13 janvier 2022 de ses titres militaires et parrainages d’associations, au lendemain du refus de la justice américaine de classer l’affaire au civil.

Avant cette annonce, plus de 150 vétérans de l’armée britannique invitent dans une lettre, la reine à retirer ses titres honorifiques à son fils qui s’était distingué pendant la guerre des Malouines quand il occupait les fonctions de pilote d’hélicoptères. Les signataires y ont ajouté que le prince a manqué aux obligations de “probité, honnêteté et de comportement honorable” qui caractérisent les militaires britanniques.

Le prince Andrew ne dispose plus des privilèges de la royauté, car il est désormais un simple citoyen Britannique.