Les tests de covid-19 sont vendus après leur utilisation à des entreprises privées.

L’organisme britannique de protection des données privées intente une action en justice contre un grand fournisseur de test, pour vente illicite d’écouvillons contenant l’ADN de ses clients à des entreprises privées.

Les lois britanniques sur la protection des données personnelles prévoient l’acquisition d’un consentement éclairé des clients afin de traiter de leurs données. Mais les clients n’ont pas été informés que celles-ci seraient utilisées à des fins autres que le dépistage du coronavirus.

Le commissaire adjoint de l’ICO Steve Wood affirme ; “ il n’y a pas de données personnelles plus sensibles que notre ADN. Les gens doivent être informés de ce dont il en advient de manière claire, ouverte et honnête, afin qu’ils puissent décider en toute connaissance de cause”.

Cependant, la “fiche d’information sur le programme de recherche” de Cignpost indique que l’entreprise conserve des données comprenant “des échantillons biologiques (…) et l’ADN obtenu à partir de ces échantillons”, ainsi que “des informations génétiques dérivées du traitement de votre échantillon d’ADN (…) à l’aide de diverses technologies telles que le génotypage et le séquençage du génome entier ou partiel”.

Par ailleurs, Cignpost indique également pouvoir partager les échantillons d’ADN des clients, et d’autres informations personnelles avec des collaborateurs travaillant pour l’entreprise ou non, y compris des universités et des entreprises privées. Un partage pour lequel l’entreprise peut recevoir une compensation sans que le client n’en soit informé.

En cette fin d’année marquée par le reconfinement des non-vaccinés en Autriche et des politiques français qui évoquent le même projet, il est bon de rappeler un point important concernant le pass sanitaire. 

Au début certains médias ont parlé d’une exemption pure et simple pour les parlementaires pour des raisons de constitutionnalité qui a finalement fini par une exemption pour rentrer dans l’hémicycle. Tout va bien alors, les parlementaires qui ont voté pour l’instauration du pass sanitaire montrent l’exemple non ?

En effet, comme tout le monde ils sont sujets aux vérifications de pass sanitaire sauf pour… leur travail ! On peut donc imaginer que dans le contexte d’un reconfinement pour les non-vaccinés comme l’ont évoqué Valérie Pécresse ou encore Xavier Bertrand, que ce soit inconstitutionnel pour les parlementaires qui refuseraient de se faire vacciner de perdre leur travail…

Non-vacciné ? Reconfiné !

Dès aujourd'hui lundi 15 Novembre, si vous êtes en Autriche et que vous refusez le vaccin vous serez dans l'obligation de rester confiné chez vous, sauf pour faire vos courses, un peu de sport,
aller chez le médecin, ce jusqu'a ce que vous changiez d'avis ou que le taux de vaccinés augmente."Une mesure nécessaire" selon le chancelier, déplore un taux "honteusement bas" avec 65% de vaccinés en Autriche contre 75% en France ou encore 79% en Espagne.
Les cas se serait multipliés par dix en une semaine.

Par la même se met en place au Pays-Bas en Russie et en Allemagne après une hausse des cas le retour de l'interdiction de manifester et de recevoir plus de quatres personnes chez soi, la fermeture à 18h des commerces non essentiels et 20h pour les bars, restaurant et commerces essentiels.

Les autorités se donnent 10 jours pour évaluer le comportement des non-vaccinés autrichiens et effecturont des contrôles chaque jour, les derniers "réfractaires" étant appelés à se faire vacciner dans les plus bref délais. De plus les non-vaccinés auront le droit d'acheter de la nourriture mais pas de cadeaux de Noël. 

Tout cela arrive au moment où on nous parle de reconfiner pour lutter contre la "cinquième vague". Xavier Bertrand et Valérie Pécresse lors du "débat de la droite" ont d'ailleurs semblé tous les deux favorables à ce genre de mesures.

Israël, "l'exemple à suivre".

Dans la gestion de la crise provoquée par l'épidémie de la COVID-19, l'état d'Israël est souvent considéré comme ayant un temps d'avance, beaucoup de pays prenant appui sur les opérations y étant mise en œuvre pour ordonner leur propres organisation.

La dernière en date n'est pas sans nous rappeler les heures les plus sombres de notre histoire.

En effet, le 29 Juillet 2021, suite à une hausse des contamination liée au variant delta, l'état hébreu 
met en place le "badge vert". Ce badge permet l'accès aux personnes vaccinés, guéries de la COVID ou munies d'un test négatif, à tous les lieux préalablement fermé au public.

Autrement dit, en Israël, si vous n'êtes pas vacciné deux fois, que vous n'avez pas recouvré la santé après la COVID-19, que vous n'êtes pas détenteur d'un test négatif (payant pour les plus de 12 ans à raison de 17 euros pour un test valable 24h), vous n'êtes pas autorisé à aller au restaurant, au théâtre, au cinéma, à la salle de sport, à la synagogue... Ni à l'ensemble des lieux/évènements comportant une jauge de plus de 100 personnes, cette mesure s'appliquant à tous, hommes, femmes et surtout enfant dès l'âge de 3 ans.

On a échangé nos ovules.

Ce n'est (heureusement) pas le nom d'une nouvelle série TV française, bien qu'au vu de l'avancée des manipulations in vitro on imagine que cela puisse se produire dans les années à venir, mais un accident qui s'est produit aux Etats-Unis dans une clinique spécialisée dans la fécondation in vitro (FIV) de Los Angeles.

La mésaventure de Daphna et Alexander Cardinale démarre en septembre 2019 lorsque ces jeunes parents voit leur enfant pour la première fois et constate immédiatement que la petite fille possédait une couleur de peau et des cheveux bien plus foncés que le reste de la famille.
Après avoir effectué une batterie de test sur conseil de leurs avocats, les résultats affirment le nourrisson mis au monde et élevé pendant plusieurs mois par Alexander et Daphna n'avait aucun liens génétiques avec eux, que celui ci était l'enfant de parfaits étrangers.

C'est donc par simple négligence que les embryons des deux couples aurait été échangé puis implanté dans la femme qui n'était pas la donneuse de l'ovule. La fécondation in vitro est souvent utilisé par des couples ayant des difficultés à donner la vie et parfois inclus un don d'ovule, de sperme ou les deux. Pour rappel, ce processus consiste à inséminer un spermatozoïde dans un ovule en laboratoire pour par la suite implanter l'ovule fécondé dans l'utérus de la mère.

Fin heureuse pour cette erreur de manipulation, les deux couples ont fait connaissance et on rééchangé leurs enfants génétique, échange officialisé devant le parquet de Los Angeles. La famille Cardinale demande tout de même des dommages et intérêts au laboratoire pour les souffrances et le traumatisme engendré.

De vrais-faux pass sanitaires, Bob l’éponge et Adolf Hitler cn ligne à cause d’une faille de sécurité.

Bien qu’il soit apparemment impossible de le falsifier, un QR code a un chiffrement privé qui est mis à la disposition des professionnels de santé pour les personnes qu’elles vaccinent via les sites agrées par le gouvernement.

Selon le développeur Xiloe : “je pouvais générer des pass qui indiquaient une vaccination pour tous les pays, y compris la France ou le Zimbabwe, un pass de Hitler a été généré à partir de ce site auquel j’ai eu accès. C’est vérifiable, car il est signé avec la clé privée macédonienne”.

Du nom d’Adolf Hitler né en 1900, il aurait reçu une dose de Pfizer le 1er octobre 2021 et son QR code apparaît comme un pass sanitaire français, émis par la caisse nationale de l’assurance-maladie (CNAM), ce qui l’autorise à voyager.

Ensuite, vient Bob l’éponge vacciné au Royaume-Uni dont le QR code est valide dans son pays où il peut librement aller au travail. En réponse à l’obligation du pass sanitaire pour aller travailler émit par le gouvernement espagnol.

Les spécialistes de la sécurité informatique déclarent qu’en se servant d’un site web réserve aux autorités sanitaires et qui permet de générer des QR codes, ils pouvaient y entrer des informations personnelles après quoi avoir un pass valide.

Par ailleurs, le site du ministère de la Santé nord-Macédonien qui servait d’interface auprès du personnel de santé a été supprimé et les codes QR de cette région ont été annulés pour parer à la fraude. Cependant, plusieurs QR codes ont été générés avec des clés privées autres que Macédoniennes, car le code QR code Mickey, lui a été généré par une clé française.

ICE CUBE abandonne le projet “Oh Hell no” de Sony pour éviter de se faire vacciner contre le Covid-19.

Ice Cube, rappeur et acteur américain, vient de refuser un rôle dans une comédie de Sony, alors qu’il devait jouer avec Jack Black. Le rappeur américain décline une offre à 9 millions de dollars pour ne pas se faire vacciner.

Le projet de film “Oh Hell No”, réalisé par Matt Tolmach et Jack Black, dont le tournage était prévu pour cet hiver à Hawaï, avec comme réalisateur Kitoa Sakurai, a été reportée par la production le temps de trouver un remplaçant à Ice Cube. Car celle-ci a suggéré que tous les acteurs du projet doivent être vaccinés.

“Oh Hell No” devra raconter l’histoire de Sherman (Jack Black) qui tombe amoureux de la mère de Will (le rôle incarné par Ice Cube), et ce dernier n’a qu’une seule chose à dire “Oh non”. Après quoi, Ice Cube serait payé d’un montant de 9 millions de dollars pour la journée. Il a simplement décliné cette offre.

Ice Cube a toujours encouragé le port des masques. D’ailleurs, le “Bacone College” dans l’Oklahoma, a reçu un don de 2000 masques du rappeur et d’autres personnes. Il a ensuite fait la promotion des tee-shirts marqués “faits toi tester avant de devenir une épave” appelant à respecter le confinement et les gestes barrières, les bénéfices de la vente ont été reversés à des travailleurs en première ligne.

Ce projet est le deuxième que le rappeur laisse tomber ces derniers mois, il n’est clairement pas prêt à se laisser piquer.

L’utilisation des toilettes pour femmes par les transgenres est au cœur d’une polémique aux Etats-Unis après qu’un adolescent de 14 ans ait violé une collégienne de son école.

Suivant le verdict rendu cette semaine, la juge des mineurs a déclaré coupable l’adolescent violeur.

La question relayée par la population de Virginie est “dans quels WC peuvent aller les personnes transgenres ?”

Quelles toilettes pour des personnes transgenres ?

Entretenue depuis mai dernier, la question de “qui à droit à quel WC ?” semble donner raison aux conservateurs, car dans le lycée Srone Bridge de la ville d’Ashburn, le garçon auteur du viol s’identifiait comme “gender fluid”.

(Définition wikipédia : L'expression met l'accent sur la fluidité du genre, les personnes pouvant se définir d'une façon ou d'une autre à différents moments, sans se sentir obligées de s'inscrire dans un genre particulier.)

Parti sur une idéologie fondamentale de la société américaine, le sujet oppose deux camps.
 

D’une part, les conservateurs républicains qui veulent que chaque personne utilise les toilettes liés à leur sexe. Et d’autre part les démocrates progressistes qui veulent permettre aux personnes transgenres d’aller dans les vestiaires et WC qui correspondent à leur identité sexuelle.

Une récupération politique pour le poste de gouverneur

En pleine campagne pour le poste de gouverneur en Virginie, les candidats se servent de cette dichotomie idéologique pour gagner des voix.
 

Glenn Youngkin, le candidat républicain, a reçu un écho favorable chez des millions de conservateurs de Virginie et d’autres Etats.
 

Dans un meeting tenu samedi, Barack Obama a parlé d’une guerre culturelle hypocrite, inventée de toute pièce” pour qualifier ce que les républicains ont traité de “radicalisme pro transgenre”. Cependant, Terry Mc Auliffe candidat démocrate redoute une défaite en Virginie, d’où l’intervention de l’ancien président des USA en guise de soutien pour son électorat.

Nous vous invitons à regarder ce documentaire qui explique très bien la situation de la pédocriminalité en France et en Europe en recueillant la parole de divers experts en la matière ainsi que de nombreux témoignages de victimes. Le documentaire ose également soulever la question des réseaux pédocriminels au travers des témoignages glaçants...

 

You Tube suspend la chaîne du président brésilien pour une semaine.

Le président Brésilien Jair Bolsonaro, inquiété déjà par la justice de son pays pour sa gestion de la crise sanitaire, vient de faire une sortie sur sa chaîne You Tube associant le vaccin contre le Covid au sida, ce qui lui a valu une suspension.

Dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, Jair Bolsonaro alimente une rumeur selon laquelle des rapports officiels du gouvernement britannique “suggèrent” que des personnes entièrement vaccinées développent le virus du sida “beaucoup plus rapidement que prévu”. Il ajoute : “Je vous recommande de lire les nouvelles. Je ne vais pas les lire ici, car je pourrais avoir des problèmes avec mon live”.

Après cette sortie du président, la société brésilienne des maladies a pris position contre Jair Bolsonaro, et a assuré dans un communiqué qu’“aucune relation n’est connu entre n’importe quel vaccin contre le Covid-19 et le développement du syndrome d’immuno-déficience acquise”.

Par la suite démentie par le gouvernement britannique, cette information a été censurée par You Tube qui a déclaré : “nous avons supprimé une vidéo de la chaîne de Jair Bolsonaro pour violation de nos politiques de désinformation médicale sur le Covid-19 en affirmant que les vaccins ne réduisent pas le risque de contracter la maladie et qu’ils provoquent d’autres maladies infectieuses”.

Le président brésilien n’a jamais été en faveur de l’application des mesures sanitaires et encore moins en faveur de l’application du vaccin contre le Covid.

Dose de rappel : une 3e injection de vaccin pour Olivier Véran

Le ministre de la Santé a reçu une dose supplémentaire du vaccin Pfizer le 26 octobre, il s’agit là de sa 3ème prise. Une initiative pour sensibiliser les personnes pendant la campagne de rappel à la vaccination.

Médecin neurologue Olivier Véran, a reçu une injection de sérum Pfizer, quelques jours après avoir lancé la campagne saisonnière en France où il déclare : “je me protège, je protège les personnes avec qui je suis en contact. Et j’envoie un signal en disant allez-y”.

Une fréquence de 100.000 doses de rappel par jour

Selon lui, les effets de la campagne sont visibles, car il a annoncé une fréquence de “100.000 doses” de rappel par jour et une hausse des prises de rendez-vous. Celle-ci stimulerait donc les personnes éligibles à faire une piqûre de rappel. Il est comptabilisé environ 2,5 millions de personnes sur les 6,8 millions qui ont effectué leur rappel vaccinal six mois après leur dernière injection.

Par ailleurs, cette piqûre de rappel concerne les personnes de plus de 65 ans vivant à domicile, celles atteintes de maladies graves et de co-morbidités ou encore les résidents en EHPAD et le personnel soignant.

“ j’en ai profité pour faire dans le même mouvement et dans l’autre bras la vaccination contre la grippe” a t-il déclaré.

L'inflation du prix du pain, la répercussion d’une flambée des coûts liés à la production


Classé parmi les produits de premières nécessités, le pain est un aliment de base. Cependant, il est concerné par la hausse des prix du blé, de l’énergie et aussi des charges du personnels boulanger. Son prix s’élèvera de 10 centimètres dans les prochains jours.

Dominique Anract président de la Confédération nationale de la boulangerie-patisserie francaise (CNBPF), affirme qu’avec une augmentation du “ prix du blé, farine, énergie, plus les salaires, plus les produits d'emballage, tous les feux sont rouges”.

Alors que le cours du blé a augmenté de 30 % depuis le début de l’année à cause de la baisse de sa production et des faibles récoltes en Russie due aux conditions climatiques, viennent s’ajouter l’augmentation du prix de l’énergie et du gaz que subissent l’ensemble des Français.

Par ailleurs, le président de la CNBPF témoigne : “quand vous embauchez un salarié, c’est 45% de charges, plus le reste. Quand vous vendez une baguette autour d’un euro, il faut le faire”.

Ainsi, la baguette standard qui coûte environ 90 centimes en France, elle va prendre quelques centimes de plus. “Cela m’étonnerait qu’on ait une augmentation de 20 centimes même 10 centimes cela serait beaucoup” déclare Dominique Anract.

Selon Anract : “en 20 ans, la baguette a pris 23 centimes”, il tient à faire une remarque sur le fait que ce produit, qui a évolué dans sa fabrication, ne connaît pas encore de véritable fluctuation de son prix.

Donald Trump annonce le lancement de son réseau social “Truth Social”.

Après avoir été banni de Twitter, Facebook, YouTube, Donald Trump crée son propre réseau social dont le lancement est prévue pour le premier trimestre 2022.

“J'ai crée Truth Social et le groupe Trump Media and Technologie (TMTG) pour résister face à la Tyrannie des géants des technologies”, a affirmé l’ancien président américain dans un communiqué.

Le président Trump avait promis créer une plateforme en quittant la maison blanche, une promesse qu’il a tenue. Il déclare : “ je suis enthousiaste à l’idée de commencer bientôt à partager mes idées sur Truth Social”. La plateforme fournira un service de vidéo à la demande et des podcasts “non-woke”.

Alors qu’il avait 35 millions d’abonnés sur Facebook, 24 millions d’abonnés sur Instagram et 89 millions d’abonnés sur Twitter, il a été indéfiniment exclu de ceux-ci pour “ cause du risque de nouvelles incitations à la violence”, à l’issue du violent assaut mené contre le capitole par ses partisans, lors de la cérémonie de certification de la victoire du démocrate Joe Biden, le 6 janvier dernier.

Le groupe Trump Media & Technology va fusionner avec Digital World Acquisition Corp (DWAC) afin d’être cotée, indique également le communiqué. Aussi, Truth Social sera accessible en version bêta sur invitation dès novembre 2021, avant un lancement généralisé au premier trimestre 2022, l’application est déjà disponible en pré commande sur l’App Store.

L’ancien président réagit promptement après avoir “été réduit au silence”, une situation qu’il a jugé “inacceptable.”

Meyer Habib député français, il a longtemps fait du trafic d’influence entre Israël et la France due à ses rapports privilégiés avec Benjamin Netanyahou. Il était de tout bord et n’hésitait pas à s’ériger contre la diplomatie française en Israël.

Meyer Habib est depuis 2013 députe de la huitième circonscription des Français à l’étranger. Il entretient aussi une amitié de 30 ans avec Netanyahou. Une alchimie se crée entre les deux hommes, aux aurores de l’influence grandissante de Netanyahou en politique. Habib, s’investit dans la vie de Netanyahou et finance le séjour de sa famille en 1999 en France.

Selon Raviv Drucker, journaliste d’investigation. Tous les contacts officiels de Netanyahou en France passent par Habib. Il est le relais de l’ancien Premier ministre israélien à l’Assemblé et à l’Elysée.

Un porte-parole non officiel de Netanyahou

Le diplomate israélien Daniel Shek rappelle : “son rôle est ambigu”, “Représente-t-il l’Assemblée nationale en Israël ? Le gouvernement israélien de Netanyahou en France ? Est-ce qu’il fait les deux ? (…) Être le pont dans les deux sens, c’est difficile”.

Par ailleurs, lors de la visite de Francois Hollande en Israël et en Cisjordanie en novembre 2013, une personnalité invitée du voyage, a été refoulée sous la pression de Meyer Habib à cause de ses positions propalestiniennes.

Aussi, il avait aussi permis à Laurent Fabius, ex ministre des affaires étrangères, de rencontrer Benyamin Netanyahou à Jérusalem et quelques temps après, il a empêché à Emmanuel Macron de le rencontrer en 2015 alors qu’il était ministre de l'Économie.

Avec le départ de Netanyahou, sa marge de manœuvre se réduit, son influence diminue, de plus qu’il critique ouvertement l’actuel gouvernement Israélien qu’il accuse de trahison envers Benjamin Netanyahou.

Sondage à l’Elysée : les ex collaborateurs de Nicolas Sarkozy dans les mailles de la justice française

Ce lundi est annoncé le début d’une affaire portée en justice par l’association Anticor en 2010, contre les conseillers et collaborateurs de l’ex-président Nicolas Sarkozy.

Un détournement d’argent public à l’Elysée ?

Le quinquennat de Nicolas Sarkozy a laissé paraître beaucoup d’irrégularités dans la gestion des finances publiques de l’Etat français. Certains de ses proches collaborateurs payent le lourd tribut, notamment dans l’affaire des sondages à l’Elysée où de nombreuses enquêtes d’opinions ont été commandées dans la violation des règles qui régissent les marchés publics.

Des enquêtes d’opinions, sur des sujets qui semblaient importants pour l’ancien président, ont été menées par des instituts de sondages dont certains appartiennent aux proches collaborateurs de Sarkozy. Ainsi, plusieurs millions d’euros d’argent public ont pu être injectés pour commander des études sur les sujets tels que la grossesse de Rachida Dati, un éventuel mariage de Nicolas Sarkozy et de Carla Bruni, une possible candidature de Dominique Strauss-Kahn en 2012.

L’irrégularité de ces contrats tient du fait que lors de la signature de plusieurs de ces conventions, la règle de la concurrence des marchés publics a été dérogée et aucun appel d’offre n’a été lancé pour ces contrats, selon les sages de la rue Camblon.

Sarkozy échappe à la justice, les “mis en causes” condamnés

Claude Guéant comparait pour favoritisme et détournement de fonds publics par négligence.

Patrick Buisson ex-conseiller présidentiel et patron de Publifact renvoyé au tribunal correctionnel pour recel de favoritisme détournement de fonds publics et abus de biens sociaux.

Emmanuelle Mignon, l’ex-directrice de cabinet de Nicolas Sarkozy (elle a signé les contrats avec PubliFact) comparait pour favoritisme et détournement de fonds publics pas négligence.

Julien Vaulpré conseiller technique de Sarkozy comparait pour favoritisme.

Pierre Giacometti, ex-directeur de la société ipsos et patron de Giacomettiperson comparait pour recel de favoritisme.

Au cœur de toute cette affaire, Nicolas Sarkozy, couvert par son immunité présidentielle, il ne serait pas inquiété, ni jugé de cette affaire.

Pierre Jovanovic, économiste réputé, revient sur la situation franco-turque. Il analyse et décrit la situation réelle de la Turquie après avoir passé plusieurs mois sur place pour son reportage. Il parle de l'Etat, du peuple et de l'économie, loin des analyses de BHL. Nous vous invitons vivement à visionner sa vidéo !

 

Programmée tous les mercredi en prime time sur C8, la série documentaire est un échec, faute d’une audience. L’émission de télé “Dans le cœur des Français”, a été lancée le 15 septembre. 

“Arrêter le massacre”, le quota des audiences en chute libre.

L’animateur de TPMP a reconnu que faire cette émission n’était pas une idée de génie, son audience alors qu’elle est placée en prime time est très faible.

Invité à l’ouvrture de cette émission, Jean-Jacques Goldman, réalise la plus grande audience avec 593.000 téléspectateurs. La dernière avec Christian Clavier qui est a 270.000 téléspectateurs, fait perdre tout espoir de réussite. Le quota des audiences est en chute libre.

Après des échecs cumulés, Hanouna déclare : “quand on a pris le mur trois fois, on a envie d’arrêter le massacre”.

“Cette émission n’est plus.”

Les mercredis 13 et 20 octobre, la chaîne annule les émissions consacrées au chanteur Stromae et au comédien Kad Merad, celle-ci ne seront pas diffusées.

À la suite, cette annonce : “vous ne reverrez plus “dans le cœur des Français”, cette émission n’est plus”.

Hanouna déclare : “je prends la responsabilité de cet échec, “Dans le cœur des Français”, c’était mon idée”, “tu ne peux pas finaliser sur un concept comme ca (…) c’était une mauvaise idée (…) sur cette case du mercredi, je me suis planté”.

Tout juste lancée à la rentrée, cette émission du prime time vient d’être déprogrammée par la chaîne du groupe Canal Plus.

“Nous ne ferons pas de quotas” répond l’Académie, face à la préoccupation d’une sous-représentation des femmes parmi les lauréats. En 2021, une seule femme à reçu une distinction contre 12 hommes.

Les femmes représentent 6 % des primées au prix de Nobel.

Face à 12 hommes, la journaliste philippine Maria Ressa est l’unique femme à recevoir un prix Nobel en 2021.

Le prix Nobel, depuis sa création en 1901, est attribué majoritairement aux hommes. Ainsi, 888 hommes ont remporté le prix Nobel contre 58 femmes.

Par ailleurs, les prix scientifiques ont l’écart le plus considérable, c’est-à-dire 608 prix Nobel pour les hommes contre 23 pour les femmes.

Une résolution conforme à l’esprit d’Albert Nobel

“ Nous ne ferons pas de quotas de genre ou d’ethnicité” : affirme Göran Hansson, secrétaire général de l’Académie suédoise des Sciences qui décerne le prix de physique, chimie et économie.

Il renchérit : “nous voulons que chaque lauréat soit reçu pour avoir réalisé la découverte la plus importante, et pas pour le genre ou l’ethnicité, et c’est conforme avec l’esprit du dernier testament d’Alfred Nobel”.

Afin de mieux comprendre les raisons de cet état de cause, le secrétaire général de l’Académie suédoise des sciences déclare que seul 10 % des professeurs de sciences naturelles en Europe de l’Ouest et en Amérique du Nord sont des femmes et que le nombre décroît en Asie.

Au vu de ces faits, il s’exprime en conclusion : “nous avons eu des séminaires avec des sociologues, nous avons eu des discussions de groupe. Nous avons fait vraiment des efforts. Mais au bout du compte nous décernons les prix à ceux qui le méritent le plus, ceux qui ont fait les contributions les plus importantes”.

Les mesures sanitaires augmentent les risques de troubles mentaux

The Lancet, a publié le taux de personnes affectées de troubles dépressifs majeurs et de troubles anxieux, depuis le début de la pandémie du Covid-19. Classé par âge, sexe, localisation dans 204 pays et territoires en 2020, les cas de troubles du comportement ont augmenté de plus d’un quart dans le monde.

L’impact de la pandémie sur les troubles mentaux

Selon l’étude menée par Damien Santomauro, du Queesland Center for Mental Health Research, school of Public Health en Australie, et Alizé Ferrari, on assiste à une évaluation des impacts mondiaux de la pandémie sur le comportement humain.

D’après ces études, les cas de troubles dépressifs majeurs et troubles anxieux ont accrue respectivement de 28 % et de 26 %. D’où la nécessité de “renforcer le système de santé mentale » de toute urgence a déclaré Damien Santomauro.

Une sélection naturelle liée au genre favorise les inégalités.

Alizé Ferrari, co-auteur de l’étude déclare : “La pandémie de Covid-19 a exacerbé de nombreuses inégalités existantes et les déterminants sociaux de la maladie mentale. Malheureusement, pour de nombreuses raisons, les femmes ont été davantage susceptibles d’être plus touchées par les conséquences sociales et économiques de cette pandémie”. Elle renchérit : “les fermetures d’écoles et des restrictions plus larges limitant la capacité des jeunes à apprendre et à interagir avec leurs pairs, combinés au risque accru de chômage” ont aussi contribué à peser davantage sur la santé mentale des plus jeunes.

“ Rentes mémorielles” : une adaptation de l’histoire d’Algérie, le “faux pas” de Macron. Se permettrait-il d’utiliser la même expression en parlant d’Israël ?

Les propos du président Macron sur l’histoire de l’Algérie ont conduit à une crise diplomatique. En exigeant de la France un “total respect” de ses valeurs culturelles, l’Algérie a rappelé son ambassadeur de Paris vers Alger.

La France victime de démagogues algériens ?

Selon le président français Emmanuel Macron, le sentiment anti-français n’est pas vécu au sein “de la société algérienne dans ses profondeurs, mais du système politico-militaire qui s’est construit sur cette rente mémorielle”.

Ainsi, Macron s’est exprimé sur l’origine de cette haine en déclarant que l’Algérie s’est construite sur “une rente mémorielle” entretenue par “le système politico-militaire” après 1962. Il développe en disant que l’histoire de la colonisation francaise est “une histoire officielle totalement réécrite” et qui ne s’appuie pas sur la vérité, mais sur un “discours qui repose sur une haine de la France.

Un respect total de l’histoire du peuple d’Algérie.

Le chef d’Etat Algérien a déclaré dans sa première sortie que : “les relations avec la France relèvent de la responsabilité du peuple et de l’histoire. L’histoire ne peut pas être falsifiée”.

Aussi, Tebboune affirme que : “les propos non démentis que plusieurs sources françaises ont attribués nommément” à Macron, conduit à “une situation particulièrement inadmissible engendrée par ces propos irresponsables”.

Un rapport de force signalé : le retour de l’ambassadeur d’Algérie à Paris

Suite à ce discours du président Macron, l’ambassadeur d’Algérie à Paris, Mohamed Anta-Daoud, a été rappelé par la présidence algérienne pour consultation. Celle-ci s’est exprimée en précisant “son rejet de toute ingérence dans ses affaires intérieures”.

Par ailleurs, le retour de son ambassadeur en Algérie n’est pas définitif, mais il est conditionné, par l’attitude de la France à assurer un “respect total de l’Algérie et de l’Etat algérien”.

Tests COVID payants pour les non-vaccinés, une contrainte de plus à la vaccination

La nouvelle loi qui mène à une incitation active et profonde à la vaccination, entre en application le 15 octobre 2021. Elle stipule que les tests "de complaisance" deviendront payants pour les adultes, avec une exception pour les vaccinés.

Le pass vaccinal devient “obligatoire”, les prix pour les tests antigéniques et de PCR, ont été définis. Ils sont évalués à 22 euros pour les tests antigéniques, s’ils sont réalisés en laboratoire (25 à 30 euros en pharmacie) et à 44 euros pour les tests PCR. Aussi, les autotests à 5,20 euros ne seront plus gratuits quand ils sont réalisés devant le pharmacien.

Des tests gratuits pour les vaccinés

Selon ladite loi, les personnes exemptées du coût de ces tests doivent remplir des critères, tels que :

• la présentation d’un “pass sanitaire”;

• la présentation d’une ordonnance de moins de 48 heures, pour toute personne non vaccinée présentant des symptômes et également pour les jeunes lycéens.

• A l’apparition des symptômes ou encore avant de subir une opération chirurgicale. Ainsi, ils seront gratuits pour ceux qui ont besoin d’un test avant de se faire opérer ou pour les patients ayant un certificat de contre-indication au vaccin.

• les cas contacts signalés par l’assurance-maladie.

Toutefois, il faut présenter le certificat de vaccination pour se faire tester gratuitement.

Enfin, en cas de test antigénique positif, le test PCR de confirmation sera également gratuit s’il est effectué dans les deux jours.

Ethiopie : crise humanitaire et ingérence politique, ce qui est reproché à l’ONU

Des tensions vives entre la communauté humanitaire et le gouvernement d’Addis-Abeba, ont conduit à l’expulsion de sept responsables de l’ONU pour ingérence dans les affaires intérieures du pays et de soutien aux rebelles dans le Nord du pays.

Les humanitaires, des comploteurs ?

Dimanche 03 octobre, les hauts responsables de l’UNICEF, du haut-commissariat aux droits de l’homme, et du Bureau de la Coordination des affaires Humanitaires, sont déclarés Persona non gratta en Ethiopie.

Selon le responsable d’une organisation présente à Addis-Abeba, il s’agit bien “d’une claque magistrale”, de la part des autorités du pays. Cependant, il existe un perpétuel conflit entre les humanitaires et le gouvernement éthiopien. Car ils accusent les ONG de prêter mains fortes aux rebelles, de leur livrer des armes.

Ce conflit date du début de la guerre du Tigré en novembre 2020 où, plus de 400.000 personnes ont “franchi le seuil de la famine” et 5,2 millions d’individus ont besoin d’assistance selon l’ONU. Malgré ce fait, en aout, les activités des ONG tels que médecins sans frontière ou le Norwegian Refugee Council, par les autorités Éthiopiennes sont suspendues.

Il leur est reproché de détourner de l’aide du matériel de communication au profit des rebelles et de politiser la crise humanitaire.

Dina Mufti, le porte-parole du ministère des affaires étrangères, dit que l’expulsion des responsables onusiens est une “leçon” pour les autres personnels humanitaires.

Les Etats-Unis et cinq pays européens ont demandé une réunion publique dès cette semaine pour à priori condamner les actes pris par le chef de l’Etat Éthiopien.

Comment est-il possible en 2021 que des affaires de viol soient traitées de la sorte alors qu'une affaire pour une chanson potache de Dieudonné dans laquelle il disait "J'ai chaud à la tête devant le barbecue" est traitée avec le plus grand zèle ?

L’activiste féministe Anna Toumazouf, a lancé #DoublePeine. Il s’agit d’un appel national soutenu par de nombreuses femmes, qui ont témoigné sur les différents traitements reçus dans certains commissariats et gendarmeries lorsqu’elles venaient porter plainte pour viol, ou pour violences domestiques.

“On demande aux victimes de viol si elles ont joui.”

Ces propos recueillis sur le compte Instagram d'Anna Toumazouf, suscite de l’effroi. Des victimes desservies par l’autorité mis en cause se sont exprimées.

L’activiste féministe relate le témoignage d’une femme qui s’est confiée. Elle affirme : “au commissariat central de Montpellier, on demande aux victimes de viol si elles ont joui” ; elle ajoute : “au commissariat central de Montpellier, on explique aux victimes de viol qu’une personne qui a bu est forcément consentante”.

Pas au bout de leur peine, les manquements de certains agents

Des centaines d’autres femmes ont par la suite partagé leurs témoignages sur la toile en dénonçant l’accueil réservé aux femmes victimes de violences. On y retrouve une attitude policière humiliante vis-à-vis de celles-ci.

“ En voulant aller poser une main courante pour agression sexuelle, la policière m’a demandé pourquoi j’avais fait dormir chez moi l’ami qui m’a agressé et m’a certifié qu’un “homme ça reste un homme” comme si c’était une évidence”.

“j’ai accompagné une pote arabe qui voulait porter plainte contre son ex qui menaçait de venir chez elle pour la violer. Ils lui ont répondu que c’était sans doute parce qu’elle avait perdu sa virginité et que n’assumant pas, qu’elle accusait le gars”.

“ Je vais au commissariat de Lille pour signaler que mon voisin bat sa femme. On me répond avec des rires gras “vous ne savez pas, peut-être qu’elle l’a mérité” je ne sais pas ce qu’elle est devenue”.

Le préfet de l’Hérault a fait un tweet pour se défendre des accusations contre les forces policières. Seulement, l’expérience de ces femmes qui soient n’ont pas pu porter plainte, soient ont reçu un traitement outrageant au moment de l’enregistrement de la plainte, pousse à croire à une complicité de la part de leurs patrons.